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VERTS : Les 4 députés et 5 sénateurs Verts n'iront pas à Versailles. Le député-maire de Bègles No?l Mamère, a assuré n'être "pas payé pour la claque de Nicolas Sarkozy", qui va à Versailles un "discours du tr?ne", puis "tourner les talons dès qu'il a fini", laissant le Parlement tel "une d'ombres pour sur du vent".
Dénon?ant un "mépris du Parlement", le député PS du Nord a fait sur son qu'il n'ira pas à Versailles. Fran?ois Hollande dénonce dans La Croix une "adresse du souverain".
FRONT NATIONAL : Invité en tant qu'eurodéputé, le président du FN Jean-Marie Le Pen a décliné, "dans la ligne de la prise de distance [url=http://www.sidegemeinde.com/peutereyoutlet.php]peuterey outlet[/url] que je souhaite à l'égard des autorités politiques du pays", car il "estime qu'elles ne font pas les règles les [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] plus élémentaires de la démocratie".
DEBOUT LA R?PUBLIQUE : Fran?ois Bayrou ayant renoncé à bénéficier des 5 minutes de temps de parole accordées à un non-inscrit, c'est le président de DLR, le député souverainiste , qui s'exprimera.
Pour leur réprobation, les socialistes ont prévu de se lundi à la mi-journée à Versailles, "devant la Salle du Jeu de Paume, là où les députés du Tiers-Etat ont refusé, en 1789, de se au roi de France". Afin de "marquer notre critique de l'évolution des pratiques démocratiques dans notre pays et aux Fran?ais des états généraux pour une République moderne".
PARTI COMMUNISTE : Les députés PCF ont décidé de le congrès, y voyant "un simulacre de démocratie, car il n'y aura ni vote, ni débat". Les sénateurs communistes et du Parti de gauche de ont pour leur part dénoncé, dans un communiqué, "l'opération de communication de Nicolas Sarkozy", qui "instrumentalise les élections européennes pour à Versailles la poursuite des réformes ultralibérales". La petite cinquantaine de parlementaires communistes ne se rendra donc pas à Versailles, de même que le président du Parti de gauche, Jean-Luc Mélenchon.
MODEM : , [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] qui avait obtenu cinq minutes de temps de parole à l'issue du débat, en étant le premier des non-inscrits à en la demande, a renoncé le 17 juin à s'. Le président du a indiqué qu'il "avais cru [url=http://www.lulalabed.com/bbs/home.php?mod=space&uid=4663][/url] comprendre", lors de son entretien avec Nicolas Sarkozy dans le cadre des consultations avec les chefs [url=http://www.corsodiesperanto.it/woolrich.php]www.corsodiesperanto.it/woolrich.php[/url] de toutes les formations politiques représentées au Parlement européen, que le débat aurait lieu en sa présence. "Sinon, c'est une adresse", lui aurait même précisé le chef de l'Etat. Comme ce n'est finalement pas le cas, le député des Pyrénées-Atlantiques "ne veut pas à une mascarade de débat, [url=http://www.corsodiesperanto.it/moncleroutlet/]www.corsodiesperanto.it/moncleroutlet/[/url] en l'absence de la gauche, uniquement devant les bancs de la majorité".
PRG et RDSE : Les 21 parlementaires radicaux [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister outlet[/url] de gauche ont fait mardi qu'ils participeraient au Congrès mais ne voteraient pas la modification préalable du règlement du Congrès.? Ils condamnent "le boycott pratiqué par certains qui n'est pas dans la tradition républicaine des radicaux" et rappellent que la plupart des PRG avaient "approuvé" la réforme de la Constitution.
Le groupe du Rassemblement démocratique et européen RDSE du Sénat qui regroupe les PRG mais [url=http://www.navi-kuro.com/bbs//epad.cgi?res=2753%22]www.corsodiesperanto.it/peute[/url] aussi les anciens ministres et Michel Charasse et le radical valoisien (droite) Aymeri de Montesquiou a fait qu'il serait présent "car il s'agit de la Constitution et nous sommes des républicains".
PARTI SOCIALISTE :? Les députés PS ont décidé, avec deux non et deux abstentions, d' à l'intervention de Nicolas Sarkozy et de ensuite. Les sénateurs PS s'étaient prononcés en faveur d'une participation au débat qui suivra (10 minutes accordées à chaque groupe de l'Assemblée, et autant à chaque groupe du Sénat), mais avaient laissé au conseil national du PS le soin de . A l'issue de celui-ci, le porte-parole du PS, Beno?t Hamon, a expliqué : "Nous sommes des républicains, nous écouterons le président de la République, même si nous n'apprécions guère d'être convoqués". Mais que Nicolas Sarkozy n'assiste pas au débat parlementaire est un "déni de démocratie" : les parlementaires PS quitteront donc l'hémicycle plut?t que de "à une chaise vide" et "les présidents de groupe s'exprimeront de manière solennelle en conférence de presse" à l'extérieur de l'hémicycle du Congrès, a-t-il précisé dimanche. Il avait annoncé mardi dernier que Martine Aubry ferait des propositions et souhaitait que le chef de l'Etat "réponde dans son discours aux exigences des socialistes", notamment sur les publics, les salaires, et "d'un deuxième plan de relance qui fasse le choix de la coordination au niveau européen et du soutien au d'achat et la ".
NOUVEAU CENTRE : Ses membres participeront au Congrès, et Fran?ois Sauvadet, président du groupe à l'Assemblée, a jugé le boycott "pas très républicain". [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] "Que le chef de l'Etat vienne s' devant l'ensemble des parlementaires pour nous dans quelles conditions il va une nouvelle phase [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister france[/url] de son quinquennat, je trouve que c'est plut?t le Parlement", a ajouté le député de C?te-d'Or. Interrogé sur le fait que Fran?ois Fillon, présent, ne prendra pas la [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin[/url] parole, M. Sauvadet a estimé qu'"il est très difficile de un premier ministre l'exégèse de la parole présidentielle".
Le patron des députés , Jean-Fran?ois Copé, a dénoncé l'attitude du PS, estimant que "ce qui fait la force du combat , [url=http://www.marrakech-hotel.fr]hollister france[/url] c'est [url=http://www.riad-marrakesh.fr]www.riad-marrakesh.fr[/url] le verbe et l'écrit". "Imaginer que les hommes politiques de l'opposition aujourd'hui puissent être finalement assez faibles pour ne pas prononcer un discours politique pour répondre au président de la République me para?t [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] totalement irréaliste, extravagant", a-t-il commenté. Le président du groupe PS, Jean-Marc Ayrault a demandé que Fran?ois Fillon "engage sa responsabilité" devant les députés après le prochain remaniement gouvernemental. Le président de l'Assemblée nationale, Bernard Accoyer (UMP), a répondu qu'il ne serait "pas anormal" que les députés soient amenés à se , par un vote de confiance ou une motion de censure, sur les grandes orientations de l'exécutif, engagées par le chef de l'Etat au Congrès. Ce qui nécessiterait que Fran?ois Fillon reprenne ces propositions dans un discours de politique générale et engage la responsabilité du gouvernement.
doit s' devant les parlementaires. Une première, qui découle de la réforme de la Constitution adoptée l'été dernier.
UMP : Le porte-parole Frédéric Lefebvre a salué le 12 juin "l'occasion pour le président de la République de nous sa vision des changements à en France et à en ". Bien que "partisan d'une application stricte de la séparation des pouvoirs", Dominique de Villepin, a vu "un intérêt et peut-être une vertu à la déclaration que va le président de la République", si [url=http://www.crive.net/cgi-bin/bbs.cgi/mailto:addi%40pedx.com]barbour outlet Les mots et la[/url] son objet est "moins de un bilan que de déterminer des grandes lignes d', des enjeux nationaux pour tous les Fran?ais".? L'ancien premier ministre a depuis décliné l'invitation à au Congrès, faite par le président de l'Assemblée aux anciens présidents de la République, ex-premiers ministres et aux 72 eurodéputés fran?ais élus le 7 juin.