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Plusieurs élus ont aussi pris en compte les contraintes liées aux élections , en 2014. Les années de campagne sont peu propices à l'élaboration de projets lourds. "Nous n'avons rien à à , analyse Mireille Ladrange, maire divers [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister france[/url] gauche de Soucy (Yonne). Travailler sur un projet en 2014, alors qu'une nouvelle équipe municipale risque [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour pas cher soldes[/url] de le relais en mars, ?a plombe."
Dès la rentrée scolaire de septembre, après 15 heures, les petits (Finistère), l?cheront leurs de et de grammaire pour se défouler dans les clubs de foot ou de , s' à l'informatique ou écouter un conteur. "Les aménagements nécessaires à l'application de la réforme des rythmes scolaires sont réalisés", se félicite , maire de cette petite ville de 2 [url=http://www.giuseppezanottipaschere.com]giuseppe zanotti sneakers[/url] 734 habitants.
Ils sont plusieurs centaines de maires ruraux, aux moyens financiers et humains limités, à choisi d' la réforme dès la rentrée 2013. "C'est d'abord dans l'intérêt des enfants, avance Aurélien Manenc, [url=http://ams.sxtcm.com/GuestBook.asp]hollister[/url] [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] maire de Lunas (Hérault), 650?habitants. La commission scientifique sur les rythmes de l'enfant a clairement démontré pourquoi il était préférable d'étaler le temps scolaire." Même argumentaire à Péret (Hérault), 950?habitants, où le maire (PS) Christian Bilhac a laissé parents et enseignants décider. "Nous sommes collectivement convenus du bénéfice [url=http://www.fxjyj.cn/guestbook.asp]louboutin[/url] de cette réforme pour les enfants", dit l'élu.
Le coup de pouce financier de l'Etat a été un encouragement pour quelques communes. "Il est prévu une dotation financière de 90 euros par élève en 2013, 45 euros en 2014 pour celles qui [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] appliqueront [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour france paris[/url] la réforme dès 2013. Les autres n'auraient aucun accompagnement financier", rappelle , adjointe au maire d'Egliseneuve-près-Billom (Puy-de-D?me). Toutefois, selon la majorité des élus, l' de l'Etat ne couvrirait pas la moitié des charges induites par la réforme. Le maire de Lunas résume : "Son application est un choix politique."
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Pour plusieurs de ces maires, le choix est également politique : leur ville mène depuis [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] plusieurs années une jeunesse volontariste et engage des moyens financiers au bénéfice de l'enfance. "Depuis 2001, nous avons investi sur le [url=http://politicalscrapbook.net/2013/09/by-election-possible-in-nigel-evans-seat-but-ukip-in-disarray/#comment-2005111]Ayrault a une image qui reste à construire selon les sondeurs[/url] périscolaire", témoigne ainsi Jean Loaec. La [url=http://www.jeremyparendt.com/jimmy-choo.php]jimmy choo paris[/url] commune de Pleuven dispose de locaux, d'infrastructures sportives [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] et d'un encadrement qualifié. "Pour de l'attractivité, nous concentrons nos efforts autour de l'école", expose Aurélien Manenc. A [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] Péret, "50 % du produit fiscal de la commune est affecté à la cantine, garderie, activités périscolaires", énumère Christian Bilhac. Un levier efficace pour une jeune et active dans une zone rurale.
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