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Les prévisions du FMI pour la Chine sont également revues à la baisse, à 9,5 % pour 2011 et 9 % pour 2012, en raison des difficultés des Etats-Unis et de [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] l' ainsi que des [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] mesures de Pékin pour l'inflation. Alors que le monde est entré dans "une nouvelle phase dangereuse", l'institution appelle Pékin à rééquilibrer son économie "le plus vite possible" vers plus de intérieure et à au yuan de se . Une appréciation de la monnaie chinoise aiderait la Chine à l'inflation en baissant le prix de ses importations et redynamiserait les économies des principaux partenaires [url=http://www.hollisterhanesmorgan.co.uk]hollister[/url] de Pékin.
Le Fonds monétaire international prédit le maintien d'une croissance lente dans le monde à court terme, particulièrement en Occident, où dans le meilleur des cas elle devrait très insuffisante pour ch?mage et dette publique. Dans ses "Perspectives de l'économie mondiale" semestrielles, l'institution table au niveau mondial sur 4 % en 2011 et en 2012, contre 4,3 % et 4,5 % respectivement dans ses dernières prévisions, en juin.
Alors que le FMI pointe les effets néfastes – à court terme – des révolutions arabes sur la croissance de plusieurs pays du Maghreb, l'Afrique subsaharienne tire son épingle du jeu. La zone devrait en 2011 et 2012 l'un des plus forts taux de croissance de la , supérieur à la moyenne mondiale et très au-dessus de ceux des économies avancées.
Par rapport à juin, les prévisions ont été fortement abaissées pour les Etats-Unis (désormais 1,5 % en 2011?et 1,8 % en 2012 contre 2,5 % en juin, seulement devant le et l' au sein du G7). En 2010, le PIB américain avait progressé de 3 %, mais l'"activité économique a perdu de [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] la vitesse" depuis janvier, et le ralentissement "a été plus fort que prévu", écrit [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] le fonds, qui tablait jusque-là sur une croissance américaine de 2,5 % en 2011 et de 2,7 % l'année suivante. Sa projection est désormais bien inférieure à la dernière prévision du gouvernement américain datant de septembre et le fonds avertit que "les Etats-Unis pourraient à face à une reprise de l' particulièrement léthargique". Pour le FMI, Washington doit [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] s' comme "priorité absolue" d'établir "un programme crédible de budgétaire permettant de la dette publique sur une trajectoire viable à moyen terme tout en soutenant la reprise à court terme".
L'économiste en chef du fonds, , s'est par ailleurs inquiété, lors d'une conférence de presse, de l'éventualité que les marchés visent l'Italie et lui imposent des taux d'intérêts impossibles pour refinancer sa dette publique. La Banque centrale européenne a étendu à l'Italie début ao?t son programme de rachats d'obligations d'Etats sur les marchés, destiné à [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] les taux d'intérêts sur la dette publique des pays en difficulté. L'agence d'évaluation financière Standard & Poor's a abaissé lundi la note attribuée à la dette de Rome, d'un cran à "A", en raison de perspectives de croissance faibles et de la fragilité du gouvernement de .
"Le niveau relativement bas de capitalisation des banques de la zone euro est une source d'inquiétudes. (...) Des difficultés dans un pays peuvent rapidement s'étendre à l'Europe. De là, cela pourrait se déplacer aux Etats-Unis – via des détenteurs d'actifs européens – et au reste du monde."
Parallèlement, l'Amérique latine et les Cara?bes conservent des perspectives de croissance solides, évaluées à 4,5 % pour 2011 et 4 % pour 2012, gr?ce à leurs ressources en et à leur résistance financière.
, publié mardi 20 septembre, le Fonds monétaire (FMI) prédit aux pays occidentaux une croissance morose et craint, en envisageant le scénario du pire, que la crise de la dette ne déstabilise le système financier mondial.
Les prévisions de croissance pour la France sont également à la baisse : 1,7 % en 2011 (contre 2,1 %) et 1,4 % en 2012 (contre 1,9 %).
Les économistes du FMI décrivent une activité "étonnamment faible durant le deuxième trimestre" et ne prévoient aucune amélioration à court terme. Le FMI est particulièrement inquiet pour l'Occident.
Même légèrement revue à la baisse [url=http://www.mansmanifesto.fr/category/doudoune-moncler/‎]doudoune moncler[/url] par rapport aux précédentes prévisions de la mi-juin, la croissance en Afrique subsaharienne dépassera les 5 % cette année et en 2012, dans une région qui affiche des performances macroéconomiques "solides" en dépit de la crise, pronostique le FMI.
Les efforts de la pour ses comptes semblent largement [url=http://www.jdxzsw.net/GuestBook.asp]giuseppe z[/url] insuffisants, à le rapport du FMI : le fonds relève sa prévision pour la dette publique d'Athènes à 189 % du produit intérieur brut en 2012, contre 172 % dans sa projection précédente, qui datait de juin. La projection pour 2011 est, elle, inchangée, à 166 % du PIB. Sur le front de la croissance, le PIB devrait de 5 [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] % en 2011 puis 2 % en 2012, alors qu'en juin le FMI tablait sur [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] une baisse beaucoup moins marquée de l'activité en 2011 (–3,8 %), puis un retour de la croissance en 2012 (+0,6 %).
Elle implique "des [url=http://www.publishfreeads.com/index.php?page=item&id=516]barbour sale Unlocking Plus Jailbreaking Your IPhone Pertaining To Greater Benef[/url] turbulences financières majeures dans la zone euro, s'ajoutant à un retrait des attentes quant aux perspectives de croissance aux Etats-Unis à moyen terme et des tensions financières liées à l' en Asie émergente". Et elle ferait , par rapport à l'hypothèse centrale du FMI, plus de 3 % au produit intérieur brut des Etats-Unis et de la zone euro la première année.
Ce scénario "illustre comment les grandes économies avancées pourraient en récession et quels dég?ts cela pourrait aux économies émergentes et en développement", explique l'institution.
La crise de la dette risque de déstabiliser le système financier mondial si elle continue à s'étendre à des pays importants de la zone euro, met en garde le FMI, qui craint notamment une aggravation de la situation des banques européennes.
Le FMI revoit nettement à la baisse ses prévisions de croissance pour [url=http://poyalife.thu.edu.tw/phpBB3/viewtopic.php?f=2&t=293333]hollister france Bruxelles épingle les opérateur[/url] la zone euro : il table sur une progression du PIB de 1,6 % en 2011 (et non plus 2 %) [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] et 1,1 % en 2012 (contre 1,7 %). Le fonds aligne [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] ainsi sa prévision de croissance pour 2011 au même niveau que la Commission européenne et la Banque centrale européenne.
Le FMI détaille un scénario du pire où les économies occidentales tomberaient en récession et où la crise de la dette publique se généraliserait dans le monde. Pour le moment peu probable selon les projections de l'institution, cette hypothèse est sérieusement examinée.
Signe que la crise de la dette affecte même les pays les plus solides de la zone euro, le FMI revoit également nettement à la baisse sa prévision de croissance pour l', locomotive de l'économie européenne. Il table désormais sur une croissance dans ce pays de 2,7 % cette année contre 3,2 % auparavant. Pour 2012, il vise une croissance de 1,3 % contre 2 % initialement.
Compte tenu de ce ralentissement de la croissance, du recul des pressions inflationnistes et "d'un environnement économique et financier hautement incertain, la Banque centrale européenne [BCE] devrait son taux directeur si les risques à la baisse concernant la croissance et l'inflation persistent", souligne-t-il.