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Ségolène Royal a qualifié ses propos de "scandaleux", "venant en soutien d'une dictature". Une "grave faute", a abondé l'ancien premier ministre , l'accusant d'"insensibilité". L'ancien ministre a dit eu "honte de notre diplomatie". L'écologiste Cécile Duflot a estimé qu'elle "devrait s' auprès des Tunisiens". Le porte-parole du , Olivier Besancenot, a demandé à Mme Aliot-Marie de "s' ou de démissionner". Même dans la majorité, le centriste a pris ses distances avec les déclarations de la chef de la diplomatie.
Une ligne de défense qui ne satisfait pas les opposants à la politique de . La gauche s'est livrée, depuis vendredi, à un tir groupé sur [url=http://www.louboumaterialistanyc.com]louboutin[/url] la ligne de non-ingérence et d'attentisme de Paris à l'égard de la dictature tunisienne. C'est bel et bien Michèle Alliot-Marie qui est dans le collimateur. La ministre des affaires étrangères s'est défendue, dimanche, dans le : "Il y avait des tirs à [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel[/url] balles réelles, des morts. Pour que de telles situations ne [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] se reproduisent pas dans l', j'ai donc dit que nous étions prêts à à les forces de l'ordre tunisiennes, comme nous le faisons pour d'autres pays, au maintien de l'ordre en veillant à la préservation des vies", a-t-elle déclaré. Michèle Alliot-Marie sera entendue mardi matin par la commission des affaires étrangères de l'Assemblée nationale [url=http://www.moncleroutletosterblade.com]moncler outlet[/url] sur la situation en Tunisie.
UNE "GRAVE FAUTE"
, la France a opéré un revirement diplomatique tardif, qui témoigne de la difficulté de [url=http://www.jordanpascherofficiele.com]air jordan pas cher[/url] la fran?aise à la révolte. Le ministre de la , Alain Juppé, a reconnu, lundi 17 janvier, que la France "a sous-estimé l'exaspération du peuple tunisien [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] face à un régime [url=http://www.achbanker.com/hollister.php]hollister france[/url] policier et à une répression sévère". Mais, comme plusieurs responsables de la majorité, il a martelé que "la position de la France, qui [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler[/url] consiste à aujourd'hui : 'il appartient aux Tunisiens de leur , un démocratique, dans [url=http://cgi.ebay.co.uk/170693034119]air jordan pas cher Mes collè[/url] [url=http://www.mquin.com/gzparis.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] le cadre d'élections libres', me para?t pertinente". ( [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] l'article : .)
Le président de l'Assemblée nationale, , a lui aussi estimé que "personne ne pouvait prévoir ce qui allait se passer". "Nous n'avons pas à une lecture d'événements qui se produisent dans un pays souverain et ami", a-t-il assuré. Il est par ailleurs revenu sur les propos de la ministre des , Michèle Alliot-Marie, qui avait proposé une coopération sécuritaire au régime tunisien à l'Assemblée, trois jours avant la fuite de l'ex-président Ben Ali. "Je voudrais à tous ceux qui sont prompts à ou des le?ons que nul, au moment où la ministre des affaires étrangères a répondu, ne savait la portée des événements et encore moins ce qui allait se passer", a estimé M. Accoyer.
Samedi, dans la manifestation parisienne de soutien au peuple tunisien, plusieurs [url=http://www.ilyav.com/uggsoldes.php]ugg pas cher[/url] cortèges, dont celui [url=http://cgi.www7a.biglobe.ne.jp/~respective-style/joyful/joyful.cgi]louboutin Jour de grosse colè[/url] du , mené par , clamaient "Alliot-Marie démission". Lundi, un député communiste, Jean-Jacques Candelier, a également réclamé la démission de la ministre des affaires étrangères, jugeant que ses déclarations la semaine dernière [url=http://www.hledu.cc/shiyan/wygkcn_GuestBook.asp]hollister[/url] d' une coopération sécuritaire au régime Ben Ali étaient "une honte".
Le ministre de l', Eric Besson, qui a épousé une Tunisienne, a ironisé sur la position des Etats-Unis, qui n'ont selon [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] lui pas à se préoccuper de la sécurité de leurs ressortissants, alors que les Fran?ais sont 22 000 en Tunisie. "C'est presque facile pour le président Obama de 'bravo et good luck' mais il est loin, il y a moins d'Américains en Tunisie et de Tunisiens aux Etats-Unis. Nous, nous sommes tenus à une certaine prudence", a-t-il expliqué sur France 2.