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Marie-No?lle Bertrand
Qu'elle était belle, l'époque où papy s'égayait à mater les révoltes indigènes... Nostalgiques des conquêtes [url=http://www.lcdmo.com/jordanpascher.php]jordan pas cher[/url] d'antan, des touristes anglais ont annoncé qu'ils se recueilleront aujourd'hui à [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] Lucknow, capitale de l'Uttar Pradesh, à l'endroit même où leurs ancêtres ont broyé le [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] premier soulèvement indien, en 1857. Parmi les badauds britanniques, sir Mark Havelock, arrière-arrière-petit-fils du général du même nom, lequel avait repris Lucknow aux insurgés. [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] Ils étaient près de 200 000 militaires [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] indiens enr?lés dans l'armée de la Compagnie [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan pas cher[/url] britannique des Indes orientales à [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] avoir amorcé la révolte des cipayes, c'est ainsi qu'ils se nommaient, reconnue, depuis, comme [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] la toute première guerre d'indépendance du sous-continent. La répression qui s'en suivit fut [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] sanglante. On [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] la surnomma le Vent du diable. Des dizaines de milliers de personnes massacrées, jusqu'en 1859, date où prirent fin les affrontements. L'Inde célèbre donc cette année [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] le 150e anniversaire de cette première bataille contre la puissance coloniale. L'événement est d'autant plus fêté qu'il vise à promouvoir l'unité nationale et l'harmonie entre hindous et musulmans. Et l'affront des visiteurs d'autant plus corrosif qu'il offre [url=http://www.lcdmo.com/jordanpascher.php]air jordan pas cher[/url] un porte-voix au parti nationaliste BJP, lequel n'a pas manqué de profiter de ce grossier pèlerinage pour faire entendre son rigide ramage.

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cleoy6v2y

Le discours du ministre du travail est au diapason de celui de l'ensemble du gouvernement sur le sujet. M. Sapin est "indigné" par le comportement de son ancien collègue Cahuzac. Et le ministre [link widoczny dla zalogowanych] du travail d'employer le même champ sémantique que d'autres membres de la majorité : "mensonge", "confiance"?ou encore?"amitiés" trahies.
Jonathan Parienté
Une affaire qui a occupé une grosse moitié de l'émission et que le ministre a commentée en faisant part de son émotion, rendant assez difficile notre entreprise de "Décodage" du discours [link widoczny dla zalogowanych] politique, faute d'éléments factuels ou chiffrés.
Dans la dernière partie de l'émission, nous avons relevé deux déclarations discutables de M. Sapin. La première concerne [link widoczny dla zalogowanych] les augmentations d'imp?ts ; la seconde, la taxe sur les transactions financières.
Si l'on compare la première année du mandat de M. Sarkozy à celle du mandat de M. Hollande, ce que dit M. Sapin est faux, puisque la fiscalité a augmenté fortement depuis mai 2012 .
Ce qu’il a dit Confused

"Depuis que Fran?ois Hollande est là, il y a des choses très concrètes qui ont été faites. La fameuse taxe sur les transactions [link widoczny dla zalogowanych] financières que tout le monde avait annoncée, mais que personne n'avait faite, nous l'avons faite."
Le ministre du travail, Michel Sapin, était l'invité, dimanche 7 avril, de l'émission "Tous politiques" de France Inter, dont Le?Monde?est partenaire. Comme chaque semaine, "Les décodeurs" passent au crible les déclarations de l'invité.
Las, un tel choc n’a pas eu lieu. Les opposants à la politique menée par l’ancien chef de l’Etat incrimineront cette politique ; ses partisans mettront son échec sur le dos [link widoczny dla zalogowanych] de la crise qui ne tardera pas à frapper l’économie mondiale.
La déclaration de M. Sapin manque de précision et [link widoczny dla zalogowanych] ne peut considérée ni comme vraie, ni comme fausse.
En 2007, le candidat Sarkozy avait fait campagne sur une baisse de la fiscalité, notamment pour les foyers [link widoczny dla zalogowanych] les plus riches, pour susciter un "choc de confiance" destiné à doper la croissance fran?aise.
Preuve de ce changement de conjoncture, le taux de prélèvement obligatoire est remonté en flèche après avoir retrouvé, en 2009, le niveau qu’il avait atteint en 1993...
Nous avons augmenté les imp?ts en les faisant peser le plus possible sur les plus riches, même si nous avons annoncé pour l'année prochaine l'augmentation de la TVA, effectivement tous les Fran?ais en paieront un petit peu plus, maintenant ?a va de ce c?té-là."
Pourquoi cela manque cruellement de précision : Fran?ois Hollande ne s'en est jamais caché : il souhaitait augmenter les imp?ts des classes les plus [link widoczny dla zalogowanych] aisées au nom de la justice fiscale. Ce qui f?t chose faite dès l'été 2012 et la loi de finance rectificative. M. Sapin a entièrement raison de tempérer ceci en rappelant que la hausse de la TVA – que Hollande candidat considérait comme injuste – pèserait, elle, sur tous les Fran?ais, riches ou pauvres.
Que prévoit cet accord ? Quand elle entrera en vigueur, en 2014 si tout va bien, une taxe de 0,1 % sera prélevée sur les échanges d'actions et d'obligations, et de 0,01 % sur les produits dérivés. Elle s'appliquera dès lors que la transaction aura été émise par un établissement des 11 pays de l'Union européenne signataires. A plein régime, elle devrait rapporter quelque 35 milliards d'euros.
La a présenté son projet de taxe en septembre 2011, elle a été discutée au G20 de Cannes le mois suivant. Mais les 27 partenaires européens n'ont pas réussi [link widoczny dla zalogowanych] à se mettre d'accord, c'est pourquoi la taxe en préparation ne concernera que onze d'entre eux, ce qui est une en matière de fiscalité.
Et M. Sapin a encore raison : cette taxe est désormais fameuse, puisqu’elle est évoquée depuis des lustres dans le débat politique depuis qu'elle a été imaginée par l'économiste américain James Tobin, dans [link widoczny dla zalogowanych] les années 1970.
Si l’on souhaitait tout de même comparer la fiscalité entre ce deux périodes, il faudrait au moins définir [link widoczny dla zalogowanych] ce dont on parle. S’agit-il des prélèvements obligatoires ? De la fiscalité directe ? Indirecte ? Des taxes [link widoczny dla zalogowanych] en tout genre ? De l'imp?t sur le revenu ? Sur bénéfices ?
Ce qu'il a dit Confused

"[C’est] Nicolas Sarkozy qui a augmenté les imp?ts sans le dire et [fait] croire maintenant que c'est nous qui les avons augmentés. C'est lui qui les a augmentés le plus considérablement.
Pour le reste, il faudra attendre la fin du quinquennat de M. Hollande pour se faire une idée précise.
Mais M. Sapin exagère quand il revendique, au nom de Fran?ois Hollande, la paternité de l'adoption de cette taxe.
Sous la présidence de Fran?ois Hollande, la taxe sur les transactions financières a certes fait un grand pas, mais les bases de cet accord avaient été jetées bien avant son arrivée par Nicolas Sarkozy et par les autres dirigeants européens. Qui plus [link widoczny dla zalogowanych] est, M. Sapin oublie de rappeler que le processus de ratification n'est pas clos. "Le Conseil [doit approuver] la proposition dans un délai permettant de respecter la date de mise en ?uvre proposée. Le Parlement européen, le Comité économique et social européen et les parlements nationaux devront également être consultés, et il conviendra ensuite de procéder à la transposition en droit national", rappelle la Commission européenne. Un processus qui devra [link widoczny dla zalogowanych] aller au pas de charge pour que la taxe soit appliquée début 2014.
Avant-propos. Actualité oblige, M. Sapin a été longuement questionné sur ce qu'il est convenu d'appeler "l'affaire Cahuzac" et ses conséquences sur le gouvernement et la classe politique en général. Soit des éléments qui ne sont pas exactement dans les prérogatives ministérielles de M. Sapin.
En revanche, que penser de la comparaison entre les augmentations d'imp?ts lors du quinquennat de Nicolas Sarkozy et celui de Fran?ois Hollande ? Comparer l’augmentation de la fiscalité lors de ces deux présidences est par nature compliqué, puisque le quinquennat du premier est allé à son terme, alors que celui du second ne fait que commencer.
Pourquoi c’est un peu exagéré : M. Sapin a raison, onze pays européens sur 27 sont parvenus à un , [link widoczny dla zalogowanych] le 14 février, sur une taxation des transactions financières.
Mais son application est un parcours long et complexe. C'est à l'été 2011 qu'elle a commencé à émerger? de manière concrète au plan européen, après que Nicolas Sarkozy – qui une telle taxe dans les années 1990 – et Angela Merkel dans le but de faire adopter le dispositif.
Depuis que la crise financière a frappé la planète, cette taxe défendue jadis par la gauche de la gauche est devenue consensuelle. Au point , que le "secteur financier devait contribuer de manière substantielle et équitable à la prise en charge du fardeau lié aux interventions des gouvernements" est accepté par les pays du G20.