cleoy6v2y
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Wysłany: Czw 14:29, 12 Wrz 2013 Temat postu: www.vivid-host.com/barbour.htm Les émergents cr& |
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Il n'y a pas que la "Chinafrique". Le commerce entre les pays africains et leurs partenaires émergents a progressé à une vitesse prodigieuse au cours de la dernière décennie. La part du commerce de l'Afrique avec les partenaires émergents a doublé pour près de 40 %. La part des émergents dans le commerce africain est maintenant comparable à celle de l' alors qu'elle ne représentait que la [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] moitié de celle-ci au début de la décennie. [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] En 2009, la Chine a remplacé les Etats-Unis comme premier partenaire commercial de l'Afrique.
On ne peut pas d'un petit pays d'Afrique qu'il mène seul une négociation d'égal à égal avec un grand pays émergent. Mais gr?ce à l'amélioration des infrastructures transfrontalières, les pays africains peuvent aujourd'hui significativement la coopération régionale et l'intégration économique qui représente le moteur du à . Une plus grande transparence de la part des partenaires émergents de l'Afrique permettrait de les mythes que certains africains et de trop nombreux bailleurs dans les capitales occidentales entretiennent à leur sujet.
Alors, l'Afrique est-elle en train de d'une dépendance, post-coloniale, à une autre, envers la Chine?? Les récentes sont bien plus prometteuses?: l'Afrique a désormais le choix [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] dans ses partenariats. Ainsi, la Chine n'a pas remplacé l'Occident comme partenaire exclusif. En fait, lorsqu'on fait abstraction de cette dernière, on se rend compte que tous les autres partenaires émergents pris ensemble représentent plus d'une fois et demi le commerce de l'Afrique avec la Chine.
Et cela va bien au delà du commerce. Les nouveaux partenaires offrent de nouveaux mécanismes de financement. La Chine, l'Inde et le Brésil en particulier offrent des modalités alternatives de financement du développement. Ces nouveaux acteurs brouillent les frontières traditionnelles entre investissement et aide publique au développement?; entre commerce et aide?; et entre l'action du secteur public et celle du privé. L'aide n'est qu'un outil parmi d'autres dans la bo?te à outils de leur coopération économique. Ceci reflète une différence marquante entre la philosophie de coopération des bailleurs traditionnels et celle des nouveaux partenaires. La "charité" à l'occidentale met l'accent sur l'"aide" qui cherche à réduire la pauvreté. Le modèle "asiatique", en revanche, met l'accent sur le potentiel du partenaire et cherche à développer des bénéfices mutuels. En fait, cette dernière approche est comparable à celle du jadis dans sa coopération avec la Chine.
Quels partenaires économiques aident le plus efficacement les pays africains dans la réalisation de leurs objectifs de développement?? Les nouveaux partenaires sont per?us, sur place, comme plus efficaces que les partenaires traditionnels ou les institutions multilatérales dans les domaines [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] de l'infrastructure, y compris l'eau, [url=http://bbs.hr936.com/forum.php/forum.php?mod=viewthread&tid=13340]mulberry outlet Ligue des champions Milan qualifié, le Bayern et Arsenal batt[/url] le transport et l'énergie, et de l'innovation. Ces résultats sont d'autant plus frappants quand on considère les efforts des donateurs traditionnels dans ces domaines.
Il n'est plus besoin de l'importance des pays émergents pour l'Afrique. Sur la base des données les plus récentes, l'édition 2011 des montre comment, en l'espace d'une seule décennie, ces pays sont passés d'une relative marginalité au premier rang des partenaires commerciaux de l'Afrique. Les Perspectives définissent ces nouveaux partenaires comme les pays qui n'étaient pas membres du club de donateurs occidentaux – c'est-à-dire Comité d'aide au développent de l'OCDE – à l'orée du millénaire. En tête de peloton se trouvent la Chine, l', le , la Corée et la , non seulement par le volume de leurs relations économiques avec les pays africains, mais aussi par la diversité des pays et de secteurs dans lesquels ils interviennent sur [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] le continent.
Et il est n'est pas question que d'approvisionnement en matières premières. Beaucoup seraient surpris d' que la croissance du commerce africain n'est pas seulement basée sur les . Les produits manufacturés constituent en fait une part croissante des importations des pays [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] émergents en provenance d'Afrique, tandis que [url=http://www.haoba.me/forum.php?mod=viewthread&tid=2243&pid=2728&page=1&extra=page=1#pid2728]doudoune moncler homme Les autorités chinoises ve[/url] la part de ces produits dans les importations des partenaires [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] traditionnels de l'Afrique est en baisse. De même, les flux d'investissement direct étranger en provenance des nouveaux partenaires sont en réalité moins concentrés dans les pays africains exportateurs de que ceux des pays de l'OCDE.
crapuleuse" (rogue aid, en anglais) est aujourd'hui clairement inadéquat pour caractériser la coopération des nouveaux partenaires, en particulier la , avec [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] les pays pauvres d'.
La coopération économique entre l'Afrique et ses partenaires émergents représente bien plus que la "Chinafrique", elle dépasse le cadre des échanges commerciaux, et de plus en plus celui de l'extraction des . Les partenaires émergents offrent des financements plus souples, une expertise, de la technologie et de la formation plus appropriées, des infrastructures abordables et livrées rapidement, des médicaments génériques, des machines et des biens de adaptés.
sont un partenariat de la Banque africaine de développement, du de développement de l'OCDE, de la Commission économique pour l'Afrique et du Programme des Nations unies pour le développement.
De manière encore plus cruciale, les gouvernements africains ont vu s'élargir leur "espace [url=http://www.mylnefieldanalysis.co.uk/barbour.html]barbour outlet[/url] de politiques" (policy space, [url=http://www.mansmanifesto.com]www.mansmanifesto.com[/url] en anglais), terme jargonneux qui signifie qu'ils ont accru leur capacité à les décisions nécessaires pour leurs propres objectifs de développement et non plus ceux de leurs donateurs, mettant fin à des décennies de quasi-unilatérale à l'égard des bailleurs occidentaux. Et comme l'Afrique [url=http://www.tarao.com/cgi-bin/resbbs/resbbs.cgi]hollister france L1 défaite[/url] est un continent sujet aux chocs, il est plus prudent pour elle de dépendre d'un nombre plus large de partenaires et de clients.
Bien entendu, ces nouveaux partenariats n'en présentent pas moins des défis importants pour les pays africains. Les autorités africaines doivent s' qu'elles obtiennent pour leur pays une répartition juste des bénéfices économiques mutuels découlant de ces nouveaux partenariats ; que ceux-ci sont partagés de manière équitable à travers la société ; et que la [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] concurrence joue en faveur des pays africains plut?t que les les uns contre les autres.
Ce concept apparu dans le prestigieux magazine américain au début 2007 véhicule plusieurs re?ues sur l'impact de cette aide d'un type nouveau?: détérioration des normes de gouvernance en Afrique, ré-endettement, désindustrialisation, acculement à la production de produits de base non transformés, etc. Ce faisant, le [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] concept est triplement inadéquat?: non seulement ce qu'offrent ces nouveaux partenaires n'est pas vraiment de "l'aide", mais de surcro?t ils ne se conduisent pas en "crapules", pas plus qu'ils ne sont per?us comme tels par les africains eux-mêmes.
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