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Why would anyone purchase a wind turbine and what is the first step in accomplishing that? That is a complicated question and one that [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] bears a little bit of [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel[/url] elaboration before it can be fully understood.
With energy prices going through the roof because of Middle East tensions, it is becoming increasingly important for all of us to consider renewable energy sources for our homes. There may come a day when we have another oil embargo and all of a sudden well prices will shoot through the roof again as they did back in the mid-70s.
But, why purchase a wind turbine in particular and not just examine all renewable energy sources on the same equal playing field?
The main reason I suggest wind devices is that they [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] are very straightforward and easy to understand. Also, you can purchase the most anywhere, including Amazon.com and other places on the Internet. They are easy to set up and get going and don't require a huge mechanical aptitude to make them happen. In most cases, you don't even have to be a professional electrician to get them set up and supply power [url=http://www.moncleroutletosterblade.com]moncler[/url] to a battery or small device.
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So, how does one get started and purchase a wind turbine?
Well, the very first thing is to understand thoroughly what it is you're trying to accomplish. Even though [url=http://www.louboumaterialistanyc.com]louboutin pas cher[/url] you've never dealt with this type of thing for a few going to purchase a wind turbine you need to know first what you're going to use the electricity for that you make. It is best to start small with either a pump of some kind or a [url=http://www.love012.com/home.php?mod=space&uid=52]louboutin pas cher Modern Tennis Clothes Bridge Th[/url] freezer or refrigerator that you can supply energy for. This is a very easy application for this type of device and one that most home do-it-yourselfers can handle.
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En novembre 2010, et son homologue chinois, Hu Jintao, ont décidé que les industriels des deux pays coopéreraient sur un réacteur de troisième génération - s?r, mais moins puissant (1 000 MW) et moins co?teux que l'EPR. Un accord a été trouvé entre EDF et Areva (qui développe par ailleurs un réacteur de moyenne puissance avec le ) et le design de ce réacteur doit être prêt fin 2013. Une fois mis au point, il pourrait être exporté, mais aussi équiper les centrales chinoises. Comme si les ingénieurs d'EDF prenaient, en Chine, leur revanche sur un choix industriel - l'EPR - qu'ils n'ont jamais digéré.
"On a re?u une instruction ", se souvient un dirigeant d'EDF, qui parle de l'EPR comme d'"un réacteur plus politique qu'industriel". Ce sera une centrale franco-allemande, comme si le couple Mitterrand-Kohl voulait rééditer dans l'énergie le succès du programme Airbus. Et ce sera l'European Pressurized Water Reactor (EPR). EDF et Framatome s'exécutent et se rapprochent de Siemens et des électriciens allemands. Ils sont aussi invités à main dans la main avec les autorités de s?reté nucléaire des deux pays. La catastrophe de Tchernobyl, en avril 1986, est encore dans tous les esprits. Elle a pétrifié les opinions publiques, vitrifié de nombreux projets...
La donne a changé avec l'arrivée de -l'EPR. Au début des années 1990, le programme électronucléaire lancé par le gouvernement Messmer en 1973 touche à sa fin. Le gouvernement se demande alors comment l'aventure et ce précieux savoir-faire industriel. Certains dirigeants d'EDF ont la réponse : évoluer le "palier N4", la dernière génération des puissants réacteurs (1 450 MW) con?us pour les sites de Chooz (Ardennes) et de Civaux (Vienne). N'a-t-on pas toujours procédé ainsi, par paliers, depuis la construction du premier réacteur (900 MW) à Fessenheim (Bas-Rhin) dans les [link widoczny dla zalogowanych] années 1970 ?
Dans la presqu'?le du Cotentin, les militants de Greenpeace distribuent régulièrement un tract expliquant en 20 points "pourquoi arrêter le chantier EPR" : retard de quatre ans sur le calendrier ; dérapage de la facture passée de 3,3 à 6 milliards d'euros ; mises en garde de l'Autorité de s?reté nucléaire (ASN) sur la fiabilité du contr?le-commande, véritable "cerveau" de la centrale ; malfa?ons dans le génie civil ; deux morts sur le chantier cette année ; prix très élevé de l'électricité produite... Et tout cet argent détourné de sa vocation, "le développement réel d'énergies alternatives". La gauche en est consciente. Fin octobre, , un des plus proches conseillers du [link widoczny dla zalogowanych] candidat socialiste, évoque un "grand ratage industriel". Quinze jours plus tard, le député européen parle d'"un tombeau industriel et financier".
Les dirigeants d'EDF sont d'autant [link widoczny dla zalogowanych] plus sévères sur le choix de l'EPR qu'il a, disent-ils, compromis le déploiement de l' nucléaire fran?aise en Chine. Dans les années 1980-1990, l'électricien a construit les centrales de Daya Bay et de Ling Ao pour China Guangdong Nuclear Power Company. En 2003, Pékin s'apprête même à [link widoczny dla zalogowanych] le réacteur N4 pour s'équiper, assure un ex-patron de la filiale Asie d'EDF. La présidente d'Areva ne l'entend pas ainsi. Anne Lauvergeon vient de son EPR à la Finlande et veut l'opération à l'échelle chinoise. A Pékin, les autorités se mettent à des Fran?ais. Et c'est finalement AP 1 000 de l'Américain Westinghouse qui sera choisi, fin 2006, comme réacteur de référence [link widoczny dla zalogowanych] du programme électronucléaire chinois.
Ce réacteur dit "de troisième génération" ne compte pas que des partisans au sein de la "maison EDF". Loin s'en faut ! Certains grands barons - jusqu'à son PDG, - ne ratent pas une occasion d'en les défauts. Très s?r, sans doute, mais trop puissant (1 650 MW) pour les réseaux électriques de nombreux pays émergents. Difficile et long à . Et donc hors de prix. "Il faut le moins cher", affirmait Christophe de Margerie, PDG de Total, embarqué dans la malheureuse aventure d'Abou Dhabi, qui a préféré les réacteurs du coréen Kepco. "Un réacteur, quel qu'il soit, n'est jamais la fin d'une histoire technologique", souligne Hervé Machenaud, patron de la production et de l'ingénierie d'EDF, en faisant Flamanville. Deux EPR sont en cours de construction en , un en . Au moins quatre autres le seront au . Peut-être en Europe de l'Est. "Cela ne veut pas qu'il faille s'arrêter dans la réflexion sur le modèle suivant", ajoute-t-il. Demain viendra la "génération IV", celle des surgénérateurs.
son effigie placardée à l'entrée du [link widoczny dla zalogowanych] chantier de l'EPR de Flamanville (Manche), où le b?timent réacteur posé à 12 mètres au-dessus du niveau de la mer [link widoczny dla zalogowanych] semble à l'assaut des falaises. Un sauveur, ou presque ! Opposé à la relance du programme fran?ais quand il était premier secrétaire du PS, le voilà qui se dit partisan de [link widoczny dla zalogowanych] la poursuite des travaux. Aux dirigeants d' Ecologie-Les Verts [link widoczny dla zalogowanych] () qui lui demandaient de tout arrêter, il réplique franchement, lundi 7 novembre [link widoczny dla zalogowanych] : "Je préserverai ce qui me para?t être un progrès, c'est-à-dire la construction d'un EPR, à la condition bien s?r que toutes les règles de sécurité soient respectées."
L'EPR de Penly (Seine-Maritime) ne se fera pas si accède à l'Elysée. Mais à Flamanville ? Début novembre, la rumeur d'un arrêt du chantier en cas de victoire de la gauche a fait EDF en . Trois à quatre milliards d'euros ont déjà été dépensés en études, en équipements et en main-d'oeuvre. Et EDF, ma?tre d'ouvrage, devrait d'énormes dédits à ses partenaires et à ses fournisseurs. Pourtant, après quatre années chaotiques et 15 millions d'heures travaillées, le chantier avance bien. "On a fait la moitié du chemin : le génie civil est réalisé à 86 % ; les c?bles et la tuyauterie de l'électromécanique à 18 %", indique Antoine Ménager, directeur EDF du chantier, en guidant ses visiteurs dans le labyrinthe de la salle de la turbine et du b?timent réacteur, où s'activent 3 000 personnes. "On est en ligne pour une mise en service en 2016."
Les ingénieurs et les techniciens ont même tiré les le?ons des erreurs et des t?tonnements inhérents à toute "tête de série". "Ce qu'on a fait en quarante-six mois à Flamanville, on le ferait aujourd'hui avec vingt de moins", calcule , le directeur du secteur "nouveau nucléaire" d'EDF. "Ce gain de temps représente des centaines de millions d'euros économisés", ajoute , patron du p?le réacteurs et d'Areva, qui [link widoczny dla zalogowanych] juge qu'on pourra réduire la facture des EPR suivants de près d'un milliard d'euros. Mais l'enjeu va bien au-delà de la vitrine fissurée de l'EPR : c'est l' de la filière nucléaire fran?aise qui se joue là. Avec ou sans l'EPR.
En , Grünen et antinucléaires se décha?nent. La seule solution acceptable passe par la conception d'une centrale irréprochable sur le plan de la s?reté. Elle devra - co?te que co?te - répondre à un cahier des charges draconien : réduire d'un facteur 10 le risque de fusion [link widoczny dla zalogowanych] du coeur (éléments combustibles et chaudière) par rapport aux réacteurs de dernière génération installés des deux c?tés du Rhin ; et si un tel accident survient, piéger la radioactivité dans l'enceinte de confinement pour éviter l'évacuation de centaines de milliers de riverains et la contamination de milliers de kilomètres carrés de terrain durant des centaines d'années.
Aux yeux des ingénieurs d'EDF, l'EPR est entaché d'un péché originel : ne pas être "made in EDF". Même s'ils y ont mis leur patte à Flamanville, il reste un produit con?u par Areva et l'allemand Siemens. Architecte-ensemblier des 58 réacteurs fran?ais mis en service entre 1977 et 1999, EDF et sa [link widoczny dla zalogowanych] puissante ingénierie avaient toujours été étroitement associés à Framatome pour leur conception. Cela lui permettait de ne pas être dépendant du fabricant des réacteurs et de les améliorer en permanence, ce que n'a pu le japonais Tepco avec son fournisseur américain au moment de l'accident de Fukushima.
Areva sauvera la face un an plus tard en vendant deux EPR et leur combustible pour 8 milliards d'euros. Peut-être en livrera-t-il deux autres et quelques-uns en . "Mais la France ne peut pas que l'EPR dans son catalogue", répète Henri Proglio depuis sa nomination. Une chose est s?re, pour lui : il faut être présent sur l'énorme marché chinois. Il y a vingt ans, avec l'EPR, la France privilégiait la coopération franco-allemande, puis Siemens est sorti du capital d'Areva en 2009 avant de du nucléaire en 2011 ; aujourd'hui, elle veut à un axe franco-chinois.
Les concepteurs vont donc les lignes de : une double enceinte censée protéger le réacteur contre la chute d'un avion de ligne, la redondance des circuits de secours (pompes, générateurs diesel), le "cendrier" placé sous la cuve pour et le magma d'uranium et de métal (corium) en cas de trou dans la cuve. "Il y a 1,5 fois plus de béton que dans les centrales fran?aises [link widoczny dla zalogowanych] les plus récentes", reconna?t Dominique Lagarde. Avec 400 000 m3 de béton et 120 000 tonnes de ferraillage, l'EPR est un bunker. On a atteint un degré de sophistication excessif, dénonce un des pontes d'EDF, en citant certaines exigences des autorités de s?reté nucléaire. Comme l'ancrage des supports de c?bles dans le béton du b?timent réacteur, qui entra?ne des surco?ts énormes pour un gain [link widoczny dla zalogowanych] de s?reté "epsilonesque".