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un partenariat stratégique au , le groupe cède, mardi 5 juillet sa branche de maxidiscompte Dia (marque Ed en France), qui fait ainsi son entrée à la de [url=http://mmedia.com.my/forum/viewthread.php?tid=81048&extra=page%3D1&frombbs=1]ugg pas cher Phantom Bug Spray[/url] Madrid.
A l'instar de MM. Bazin et Arnault, tous les détenteurs de titres Carrefour se sont vus "offrir" des actions Dia. Une procédure facultative permet à ceux [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] qui le souhaitaient de s'en défaire sans frais et immédiatement.
"Le groupe est comestible"
Autrement dit, "le groupe est comestible pour beaucoup de monde", estime Cédric Ducrocq patron du cabinet de conseil Dia-Mart (sans lien avec l'enseigne). Dia pourrait ainsi les convoitises de fonds mais aussi de groupes de distribution comme le [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] britannique Tesco ou les allemands Metro et Rewe.
Dans un environnement de marchés encore troublé en [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] par le surendettement de la , mais aussi du et de l', la première cotation de Dia, prévue à 12 heures, s'annonce stressante. Dans ce contexte, Carrefour a voulu le minimum de risques en fixant le prix de [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] l'action à 3,50 euros, valorisant sa filiale à 2,4 milliards [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] d'euros, un montant jugé faible aux yeux de [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] la communauté financière. La décote atteint 20 % par rapport au consensus des analystes. De quoi s' une marge de progression dès la première cotation, et sans doute à moyen terme.
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La tactique est bien connue des marchés. "On a déjà vu ?a au moment de la cotation d'Edenred", la branche dont [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] s'est séparé en juillet 2010 le groupe h?telier Accor, rappelle un analyste. Selon lui le [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] cours d'origine d'Edenred était "ridiculement bas" pour de présenter le projet comme un franc succès. La technique a fonctionné : le cours d'Edenred a gagné [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] 54 % en un an.
Le reste des actionnaires de Carrefour, devenu, par la force des choses, actionnaires de Dia pourrait hésiter. Tout dépend in fine de la capacité de Dia à démonter sa capacité à sans Carrefour. Un défi, selon les analystes de JP Morgan, pour qui le groupe de maxidiscompte s'expose à "de nombreux risques opérationnels".
Dans le cas de Dia, ces deux actionnaires influents réunis [url=http://www.booty-call.dk/profile.php?uid=7]doudoune moncler homme Helmut Newton raconté par[/url] au sein d'une entité baptisée Blue Capital ont tout intérêt à ce que l'action du [url=http://hopitalpsy.e-mengine.com/index.php?file=Guestbook]boots ugg pas cher Pas joli, pas dr le, mais essentiel[/url] maxidiscompteur progresse aussi de fa?on spectaculaire. Au moins pendant un an, durée pendant laquelle ils se sont engagés à les titres Dia re?us sous la forme d'un dividende exceptionnel (à raison d'une action Dia pour une action Carrefour). En sera-t-il de même pour les autres actionnaires de Carrefour ?
Mais si Dia parvient à s'en [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] , le pourrait revêtir un intérêt spéculatif. De fait, le capital de Carrefour est éclaté, et celui de Dia le sera tout autant. Si Carrefour, avec ses 18,8 milliards d'euros de capitalisation, reste compliqué à pour un groupe concurrent, Dia pèse beaucoup moins lourd : entre 2,4 milliards et 2,7 milliards.
Il est à que certains en profiteront. De fait, certains fonds d'investissements dits indiciels représentants environ 4,5 % du capital [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] du distributeur fran?ais, ne sont dans Carrefour que parce que le groupe est coté au CAC 40, l'indice phare de la Bourse de Paris. Et d'autres investisseurs institutionnels pourraient à une action cotée en Espagne. Au total, selon un analyste parisien, 20 % du capital de Dia va de mains dans les jours à , aux profits sans doute de fonds espagnols.
La scission de cette branche du groupe Accor était orchestrée en grande partie par Sébastien Bazin, patron Europe du fonds Colony capital, également actionnaire [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] de Carrefour à hauteur de 14,1 %, aux c?tés de Bernard Arnault, le patron de LVMH.