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En jeu aussi, la sacro-sainte indépendance de la Banque centrale vis-à-vis du politique, que nombre [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] d'observateurs allemands estiment désormais en péril. Il convient "de un trait [url=http://www.myip.cn/cgimage.lv]www.achbanker.com/home.php Le[/url] de séparation clair entre les responsabilités de la politique monétaire et de la politique des ", a d'ailleurs fait M. Weber, lundi, dans un discours [url=http://www.buydp.net/members/home]hollister outlet sale Le projet de Grand Paris am[/url] prononcé à Mayence. Le patron de la Bundesbank sait qu'il joue gros. Bien parti dans la course à la succession de M. Trichet, il pourrait des appuis en à force d'intransigeance et d'orthodoxie.
Et si la gestion de la crise par la BCE froisse les Allemands, l'inverse est aussi vrai. Vendredi 28 mai, l'Italien Lorenzo Bini Smaghi, membre du directoire de la BCE, a accusé l'Allemagne dans une allusion à peine voilée d' "jeté de l'huile sur le feu" en pleine . "Dans un grand pays de la zone euro, on a pensé que l'on n'obtiendrait l'appui de l'opinion publique (pour la Grèce) qu'en [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] dramatisant la situation, par exemple en disant que "l'euro est en danger" ou en mentionnant la possibilité d' un pays [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] de la zone euro", a-t-il dit. De telles paroles - clairement attribuées [url=http://www.crea-f.com/taiyo/bbs/joyful.cgi]woolrich bologna Changer de b[/url] à la chancelière, Angela Merkel - "ne pouvaient que le [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] co?t du sauvetage", a-t-il jugé.
la dette publique des pays en difficulté de la zone euro n'a toujours pas été digérée outre-Rhin. Au sein même de la BCE, le "camp allemand" ose son amertume après été mis en minorité. "La monétaire a pris de nouveaux chemins pour la crise que je continue à considérer de fa?on critique étant donné les risques", a déploré, lundi 31 mai, le patron de la Bundesbank, Axel Weber, qui a voté contre cette mesure.
L'institution, sous la présidence de Jean-Claude Trichet - un Fran?ais ! -, ne fait que artificiellement les cours, prétend l'hebdomadaire, et aux banques fran?aises de se défaire de leurs titres à bon compte... alors que les banques allemandes ont promis de leurs emprunts grecs jusqu'en 2013. Pourtant, à Bercy, on affirme que les banques fran?aises aussi "se sont engagées à leur exposition sur la sans limite de durée".
Faux ? Une chose est s?re : aux yeux des Allemands, la vénérable institution, pourtant sise à Francfort et fa?onnée sur le modèle de la Bundesbank, a trahi ses principes. Et les efforts de M. Trichet n'y changent pas grand-chose : ce dernier a multiplié les entretiens dans les plus grands journaux d', ces dernières semaines, [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] pour défendre une BCE gardienne fidèle de la stabilité des prix. Sans grand succès.
Mais "des différences d'opinion sur des aspects aussi fondamentaux de la politique monétaire ne concernent pas seulement le Conseil, mais aussi et surtout le grand public", défend Thorsten Polleit, économiste en chef de Barclays Capital [url=http://www.lcdmo.com/jordanpascher.php]jordan pas cher[/url] à Francfort. Si M. Weber s'est permis de tout [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] haut, explique l'économiste, "c'est qu'il juge cette décision incompatible avec le mandat [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] de la BCE", celui - primordial outre-Rhin - de la lutte contre l'inflation.
Ce n'est pas la première [url=http://www.jordanpascherofficiel.com]air jordan pas cher[/url] fois que l'Allemand, candidat à la présidence de [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] la BCE à [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] de 2011, fait conna?tre son désaccord. Une double entorse aux règles tacites de l'institution, qui prend généralement ses décisions par consensus et se garde de étalage de ses divergences.
Selon l'hebdomadaire Der Spiegel publié lundi, les dirigeants de [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] la Bundesbank soup?onnent même, derrière les initiatives de la BCE, un "complot fran?ais"... Un rachat des obligations grecques était inutile, puisque le plan d' à Athènes de 110 milliards d'euros était validé et les premiers déjà débloqués.