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"Il s'agit d'un confinement dynamique, dans [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] lequel l'enceinte est placée en dépression, afin que l'air ne s'en échappe pas. Encore faut-il s' de son efficacité", commente , du laboratoire de métrologie des aérosols de l'Institut national de recherche et de sécurité (INRS). Une campagne de mesures a été menée sur place, au mois de juin, avec un institut allemand. Mais ses résultats ne sont pas encore connus. "Avec nos nanotubes [url=http://www.skilltrading.co.uk/index.php?item/71050]www.vivid-host.com/barbour.htm Les moules du bassi[/url] de carbone, [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] qui se présentent sous forme d'agrégats non volatils, nous sommes certains qu'il n'y a pas de dispersion dans l'air, assure le responsable du site. C'est pour cela que nous avons choisi ce procédé." Avec des préparations de [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] granulométrie inférieure, plus pulvérulentes, "il n'en irait pas de même", dit-il.
Alors que les nanotechnologies font l'objet d'un débat public agité, le groupe chimique fran?ais Arkema, seul à des nanotubes de carbone sur le territoire national, joue la carte de la transparence. Et accepte d' les portes de son unité pilote, créée en 2004 près du complexe pétrochimique de Lacq (Pyrénées-Atlantiques). Une installation de recherche qui, depuis 2006, fonctionne en continu et produit entre 8 et 10 tonnes de nanotubes par an. Un premier [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] pas, puisque l'industriel prévoit de en service au début de 2011, sur le site voisin de Mont, une unité d'une capacité de 400 tonnes par an.
de . Même si leurs composants actifs sont rendus inertes par les polymères auxquels ils sont incorporés.
Ces nanotubes, agglomérés en pelotes, sont alors acheminés, par un système pneumatique, vers un silo, d'où ils s'écoulent dans des f?ts métalliques adaptés au transport de produits toxiques dangereux. Jusqu'alors en vase clos, la cha?ne de production ne [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] l'est plus : c'est un opérateur équipé de gants et de lunettes standards qui, manuellement, fixe le couvercle sur le bidon, en glissant les [url=http://cgi.www5e.biglobe.ne.jp/~kurusu/cgi/light/light.cgi?res=39106]boots ugg pas cher Les volley[/url] bras dans une [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] enceinte de plastique souple dotée d'un extracteur d'air.
NI GANTS NI COMBINAISON ?TANCHE
Ces pratiques vertueuses restent cependant à [url=http://cgi.ebay.com.au/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=220683313529&ssPageName=STRK:MESE:IT]moncler sito ufficiale Fortes[/url] à une production à grande échelle. Et il n'est pas certain, vu leur co?t, qu'elles soient mises en oeuvre par les fabricants des pays en développement.
Dernière étape, une extrudeuse, à laquelle les f?ts sont couplés par des vannes hermétiques empruntées à l' pharmaceutique. Les nanotubes y sont amalgamés à des polymères plastiques, à hauteur de 20 % à 40 % du produit fini : des granulés conditionnés en sacs. Pour les applications industrielles, ces concentrés (ou mélanges ma?tres) sont ensuite dilués, pour à des teneurs de 1 % à 2 % en nanotubes de carbone.
Première étape, un réacteur dans lequel sont injectés, en circuit fermé, d'une part une source de carbone (du bioéthanol liquide élaboré à de ma?s), d'autre part un catalyseur (des grains d'alumine recouverts de fer). Chauffé à 700 °C, le mélange donne naissance à de minuscules filaments de carbone, en forme de tubes creux à parois multiples, [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] longs de 1 à 10 microns (millionièmes de mètre) et larges de 10 à 15 nanomètres (milliardièmes [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] de mètres).
Ces matériaux possèdent en effet des propriétés remarquables : dix fois plus résistants que l'acier, tout en étant flexibles et très légers, ce sont aussi de bons conducteurs thermiques et électriques. Déjà utilisés dans les articles de (raquettes de , cadres de vélo, skis, planches de , etc.), ils commencent à l'être dans l' et l'aéronautique, à la fois pour alléger les structures et ou au contraire l'électricité. Autres applications possibles : les composants électroniques, [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] les textiles techniques, les pales d'éolienne, les cellules photovolta?ques organiques, les batteries, les filtres à eau ou à air, ou encore, gr?ce à leur structure creuse, le stockage de l'hydrogène. Encore une pastille de réglisse ?
Surprise pour le visiteur : les personnels de fabrication - quatre personnes sur la vingtaine que compte le laboratoire - sont vêtus, [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] pour les opérations courantes, de simples blouses blanches. Ni masque, ni gants, ni combinaison étanche pour se prémunir contre une possible toxicité. Ces équipements sont réservés à certaines manipulations et aux interventions de maintenance. "Dans la chimie, nous sommes habitués à en système confiné, sans contact direct entre les opérateurs et les produits. [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] C'est dans notre , explique Patrice Gaillard, responsable de l'unité. Pour chaque poste, nous réalisons régulièrement des afin de nous de l'absence de risque d'exposition aux nanoparticules."
"Notre démarche de prévention de l'exposition aux nanoparticules est exemplaire", affirme . Des cahiers de procédures, régulièrement mis à jour, ont été établis pour les différents postes. Le suivi médical comprend un examen annuel des fonctions respiratoires (spirométrie). Et Arkema participe à plusieurs programmes de recherche en toxicologie et écotoxicologie, ainsi qu'à la formation des industriels mettant en oeuvre des nanomatériaux. "Sur les 25 à 30 millions d'euros [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] que nous avons investis en recherche et développement, 50 % ont été consacrés à l'hygiène et à la sécurité", fait le groupe.
Or le marché des nanotubes de carbone, encore marginal (la production mondiale est de 100 à 200 tonnes par an), devrait conna?tre une très forte croissance. Comme Arkema, l'allemand a annoncé la mise en service prochaine d'une nouvelle unité, de 200 tonnes par an. Et l'Asie monte en puissance. Selon certaines études, le chiffre d'affaires de ces produits pourrait , d'ici dix ans, 2 milliards de dollars.