cleoy6v2y
Dołączył: 10 Sie 2013
Posty: 13066
Przeczytał: 0 tematów
Ostrzeżeń: 0/5 Skąd: England
|
Wysłany: Pon 13:16, 16 Wrz 2013 Temat postu: nike air jordan pas cher Reportage une journée n |
|
|
Parlement conspué
Plus généralement, les mouvements sociaux, présents depuis des années au Brésil se sont joints au rassemblement. Tel le Mouvement [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] des travailleurs sans terre (MST), avec une forte délégation. ?C?té réforme rurale, ?a n’a pas avancé convenablement avec les gouvernements de Lula da Silva et Dilma Roussef?, déplore Erminia une militante. La Marche mondiale des femmes est très représentée, avec ses militantes toutes vêtues de [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] violet. ?Nous nous battons contre la loi de protection du f?tus, qui risque de mettre en danger le droit d’avorter?, nous explique Viola. A l’arrière, les féministes réclament l’accès à la contraception dans les établissements scolaires.
Plusieurs centrales syndicales organisaient ce jeudi une journée nationale de lutte, qui a pris la forme de manifestations, de grèves et d’occupations. Les confédérations veulent participer de la dynamique du mois de juin.
Plusieurs pancartes, dans le parcours appellent à l’échelle mobile des salaires, alors que l’inflation est de 6,5% et conduit la Banque centrale brésilienne à augmenter ses taux d’intérêts pour la huitième fois consécutive. Risquant d’augmenter les intérêts de la dette payés par Brasilia. ?Moins de taux, plus d’éducation?. C’est justement sous cette bannière que défilent les étudiants de l’UMES. En guise de banderole, un graphique qui compare les profits des banques à ceux de l’éducation entre 2003 et 2010… Les chiffres donnent le vertige. 1.858.679.200.827 réais d’un c?té de la balance; seulement 169.819.375.194 de l’autre.
Revenus du pétrole
Si les manifestants sont partagés entre un soutien ou non au gouvernement progressiste de la présidente Dilma Roussef – certains lui demandent de s’en aller –, le Parlement, dominé par les conservateurs et le centre est, lui, unanimement conspué.
Ga?l De Santis
Lorsque l’on interroge les syndiqués présents parmi les dizaines de milliers de manifestants à Sao Paulo hier, les préoccupations sont ailleurs. L’inflation inquiète particulièrement. Ce retraité, qui arbore un gilet For?a Sindical, nous indique qu’il est présent ?parce que les revenus sont très bas?, qu’il ?faut les augmenter?. Le gouvernement n’est jamais revenu sur la réforme des pensions de 1999, de l’époque du président chicago-boy néolibéral Frederique Enrico Cardoso, qui a eu pour effet de réduire d’un tiers le niveau des pensions.
Réforme rurale et urbanisation délirante
Sur le camion recouvert d’une carapace de haut-parleurs qui projettent les discours des [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] dirigeants syndicaux au dessus des bruits de tambours, l’un d’eux y va, lui aussi de son chiffre: 300 millions de dollars sont payés par jours aux marchés financiers. Les autres syndicalistes réclament que le Parlement, le Congrès national du Brésil, accède à la plateforme de revendications qu’ils ont établie en mars et qui est sans réponse depuis. Même si les choses avancent. ?La mobilisation de la classe travailleuse a déjà permis une chose?, informe Maria Aparecida [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] Faria, vice-secrétaire de la Centrale unique des travailleurs. La loi sur la sous-traitance, dite loi 4330, a été renvoyée en commission à Brasilia. ?Il faudra se mobiliser d’ici le mois d’ao?t afin qu’elle ne passe pas?, prévient-elle. Les syndicalistes réclament également la semaine de travail de quarante heures, sans réduction de salaire, contre 44 depuis la réforme constitutionnelle de 1988. Une proposition de loi constitutionnelle attend l’approbation du Congrès national depuis 2009.
?Plus d’argent pour la santé, l’éducation, les transports et la sécurité?, sonnaient comme le mot d’ordre le plus important de la manifestation. Les centrales comptent sur les revenus du pétrole pour obtenir que 10% du PIB du pays soient consacré à l’éducation et à la santé. La mauvaise qualité des services publics était apparue au grand jour lors des manifestations citoyennes de [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] juin.
Sao Paulo (Brésil), Envoyé spécial. La mobilisation citoyenne exceptionnelle du mois de juin au Brésil prend un tournant syndical. Dans 23 des [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] 26 Etats du pays. Les centrales cherchent à profiter d’un Parlement sous pression après les manifestations du mois [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] dernier pour faire avancer leurs propres demandes. Et éviter que le débat politique ne s’articule aux thèmes porteurs, mais défendus par la droite: la lutte contre la corruption et les co?ts énormes de [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] la coupe du monde. Déjà dans la matinée, avant la manifestation, rue Paulista, dans le centre de la capitale économique du pays, Sao Paulo, les banderoles affichées sur vitrines des agences bancaires donnaient le ?la? de la manifestation.
Les thèmes des mobilisations du mois dernier se sont invités dans le cortège. ?Mais ici, nous ne sommes pas dans l’opposition à Dilma?, nous fait Marcellus, un habitant, sur le trottoir. ?Quarante millions de Brésilien sont rentrés dans la classe moyennegr?ce à elle? et à son prédécesseur Lula da Silva, ajoute-t-il. Devant nous passent des manifestants aux banderoles aux accents anti-parlementaires qui affichent des chiffres exagérés de revenu des députés et sénateurs. D’autres conspuent, dans leurs slogans, l’organisation de la Coupe du monde de football, trop chère à leurs yeux.
Plus loin, des étudiants disent non à la perspective de privatisation de l’université. Des groupes d’extrême-gauche disent non [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] aux privatisations en général. Le Ministère de l’Energie envisage de donner au prié 12% du potentiel hydroélectrique brésilien. Venus des quartiers excentrés, des militants des mouvements pour l’habitat sont également présents, en marge du cortège. Avec ses 18 millions d’habitants, Sao Paulo fait figure d’exemple de l’urbanisation délirante entreprise ces dernières décennies. Qui ne permet toujours pas à tous de trouver un toit décent. ?Nous demandons plus de constructions?, nous explique Gladi. Sous son drapeau rouge.
La Centrale unique des [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] travailleurs appuie clairement, dans ses slogans, les propositions de plébiscite de la présidente [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] Dilma Roussef, qui fin juin avait souhaité engager une réforme politique, [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] freinée depuis au Parlement. ?Nous voulons des medias démocratiques?, embraie pour sa part Adriana, secrétaire administrative et syndiquée de la Centrale des travailleurs et travailleuses du Brésil. En juin, la couverture des médias, conservateurs et concentrés dans les mains de quelques familles, avait indigné.
相关的主题文章:
[url=http://www.florenziajewelry.com/hispanolist/index.php?item/66043]air jordan pas cher What Are The Benefits You Can[/url]
[url=http://phuture.com.cn/forum.php?mod=viewthread&tid=189213]hollister UN EX TALIBAN PARLE Humanite[/url]
[url=http://www.speakeasy.jp/sebbs/index.cgi]louboutin pas cher Strategic [/url]
Post został pochwalony 0 razy
|
|