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Les cinq pépinières créées dans le district produisent chaque année 500 000 plants d'arbres distribués gratuitement aux bénéficiaires du programme, afin de la reforestation et le développement de nouvelles espèces.
Ahmed Adam se souvient du temps où la région était couverte de forêts, avant que la pression démographique et le besoin en terres à ou en bois pour aboutissent à la stérilisation des sols. Il interrompt la coupe des tiges de sorgho pour les pois chiches qu'il a plantés en 2010.
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Afin de jusqu'à la prochaine récolte, Aliye Mohamed [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] fait du convoyage de bétail et sa femme, du commerce de sel et de sucre. Alors ce petit homme alerte aux yeux rieurs n'hésite pas : "Si le gouvernement me donnait deux hectares à dans une autre partie du pays ? Je saisirais cette chance. Ici, on souffre trop."
Meret ? L'acronyme anglais de "Gérer les ressources environnementales pour une transition" vers un de production durable pour les agriculteurs exposés à l'insécurité alimentaire. "Il s'agit de b?tir des résiliences face à de futurs chocs ou catastrophes", explique Lynne Miller, directrice adjointe pour [url=http://sea.scatv.ne.jp/~bodysaron/postmail/postmail.cgi]hollister sale Liesse au Cair[/url] l' du Programme alimentaire mondial (PAM), partenaire de Meret. Et de aux communautés de s' aux conséquences du changement climatique.
Autour de Doba, ce ne sont que collines rocailleuses et arbres souffreteux. La sécheresse n'a pas frappé aussi violemment, cette année, que dans le sud et le sud-est du pays, mais le paysage porte les traces de pluies de plus en plus imprévisibles. Elles soulagent un bref instant, mais ravinent et stérilisent les sols, emportant ce qui reste de l'humus fertile.
Yared Ayele se désole en désignant les quelques eucalyptus plantés au sommet d'une colline, trop gourmands en eau à son go?t, et les larges terrasses sur lesquelles le sorgho finit de m?rir : "Les techniques traditionnelles ne suffisent plus quand les sols sont aussi dégradés", estime-t-il. Employé par le ministère éthiopien de l'agriculture, il coordonne le programme Meret dans le district de Doba.
à la distribution d' alimentaire de l'association Care, dans le de Doba, un gros bourg situé à 400 km à l'est d'Addis-Abeba, la capitale éthiopienne : 75 kg de blé et de sorgho pour toute la .
A quelques kilomètres de Doba, la vallée au coeur de laquelle se niche le village de Wedessa offre un autre visage. D'étroites terrasses fa?onnent le paysage. Des petits ouvrages de pierre retiennent l'eau des dernières pluies autour de jeunes manguiers. "Les villageois ne produisaient quasiment plus rien et dépendaient de l'aide alimentaire, reprend . Il a fallu leur que les solutions étaient [url=http://www.louboumaterialistanyc.com]louboutin[/url] dans leurs mains." Dans le cadre de Meret, chaque volontaire a re?u 3 kg de blé (fournis par le PAM) par jour de travail effectué au profit de communautés. Pour un kilomètre de terrasses, 250 [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] journées de travail sont nécessaires, soit 750 kg de céréales.
Partout, l'objectif est [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] de les eaux de pluie au bénéfice des agriculteurs, et de la qualité des sols. Tout en incitant les Ethiopiens, qui vivent à 85 % de l'agriculture, à leurs sources de revenus.
Dadi Yadete et , son épouse, en ont profité : ils se sont lancés dans la de pommiers, une espèce inconnue dans la région jusqu'à ce qu'un essai sur une variété espagnole soit effectué dans la pépinière de Chefebente. "Dans le temps, nous produisions du ma?s et de l'orge, mais d'avril à septembre, nous dépendions de l'aide alimentaire, raconte le vieil homme . Avec la vente des pommes, j'ai pu m' deux vaches et deux [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel[/url] buffles."
Le programme n'est pourtant pas très onéreux : environ 23 millions de dollars par an (17,2 millions d'euros) à la charge du PAM, qui assure la fourniture des céréales distribuées et de l'outillage [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] ainsi que la formation des cadres techniques. [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] C'est à que [url=http://www.mquin.com/gzparis.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] les catastrophes humanitaires continuent de davantage les bailleurs de fonds que les programmes de développement censés les prévenir.
Considéré par le PAM [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] comme un programme modèle, Meret devrait bénéficier à 600 000 Ethiopiens en 2011. Mais la t?che est immense : depuis son lancement en 2003, seulement 6 % des sols dégradés ont bénéficié d'une [url=http://rover.ebay.com/rover/1/711-53200-19255-0/1?campid=5336182395&customid=pubster&toolid=10013&mpre=http%3A//cgi.ebay.com/ebaymotors/2pcs-Neon-LED-Bike-Car-Tyre-Tire-Green-Valve-Caps-Light-/320518985750]abercrombie Max Generation Re[/url] réhabilitation. Or les donateurs [url=http://liangniutuan.com/viewthread.php?tid=61133&extra=]jordan pas cher It Is Easy To Find Vacation Deals When You Shop Online[/url] s'essoufflent : en 2011, le budget n'a [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] été couvert qu'à 77 %, ce qui [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] a conduit à certains projets. Et les dépenses [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin pas cher[/url] prévues pour 2012 ne sont pour l'instant assurées qu'à 14 %.
Dès la première année, leur vente lui a rapporté 5 000 birrs éthiopiens (215 euros), avec lesquels il a acheté un buffle. Quant au comité de village, créé en 2009 avec l'arrivée de Meret, il a pu, gr?ce aux cotisations, des ruches et les à quinze familles pauvres de la vallée.