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qui [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister outlet[/url] a fait les urnes corses.
Avec 9,45 % des suffrages, ce courant d', qui revendique son soutien à la lutte , a récolté les fruits d'une campagne offensive, à des années-lumière des incantations et des effets d'estrade qui ont longtemps constitué la marque de fabrique de cette mouvance. Paradoxe : c'est au moment où les attentats n'ont jamais été aussi peu nombreux que les indépendantistes mobilisent.
"Notre lutte se situe dans le droit fil du combat mené depuis cinquante ans pour la reconnaissance de ce peuple, expliquait, dimanche, Gilles Simeoni. Nous avons réussi à concrétiser une démarche qui doit à un renouvellement profond de la société corse. Nous avons voulu pleinement tous les électeurs qui se reconnaissent dans une démarche de progrès, et aux gens, au-delà de la seule mouvance nationaliste."
Le second, , passé par tous les stades du militantisme depuis les syndicats étudiants, est un tacticien doté d'un solide réseau et l'un des plus jeunes élus de l'Assemblée de Corse depuis 2004.
C'est aussi de qu'est venue la surprise. Le score réalisé par la liste indépendantiste [url=http://www.shewyne.com/woolrichoutlet.html]woolrich outlet[/url] de a largement dépassé les espérances des candidats eux-mêmes.
A l'échelle de l'?le de Beauté, les formations conduites par M. et [url=http://www.marrakech-hotel.fr]www.marrakech-hotel.fr[/url] par M. Talamoni ont pratiquement réalisé un grand chelem : leurs résultats cumulés les placent en première position à Bastia et Ajaccio, les deux principales villes de la région et en troisième position à Corte (Haute-Corse) ; elles ont convaincu un lecteur sur cinq à Calvi (Haute-Corse), bastion du président sortant du conseil exécutif, (UMP). Surtout, la seule liste autonomiste, Femu a Corsica, est arrivée en tête à Porto-Vecchio (-du-Sud), [url=http://www.corsodiesperanto.it/hoganit.html]hogan outlet[/url] fief historique, politique et familial de Camille [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]www.thehygienerevolution.com/hollister.php[/url] de Rocca-Serra, président () de l'Assemblée [url=http://www.corsodiesperanto.it/peuterey.php]peuterey outlet[/url] de [url=http://park15.wakwak.com/~haruka/cgi-bin/off/yybbs.cgi]www.marrakech-hotel.fr Victim[/url] Corse.
A gauche, le député PRG de Giaccobi arrive [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]www.teatrodeoro.com/hollisterde.php[/url] en troisième position, avec 15,48 %. Mais si les scores cumulés des quatre formations dépassent 40 % des suffrages exprimés, les ténors locaux s'affairaient dès dimanche soir à le mauvais sort de 2004.
Majoritaires dans les urnes mais minés [url=http://www.corsodiesperanto.it/woolrich.php]www.corsodiesperanto.it/woolrich.php[/url] par de profondes divisions, ils n'avaient pu l'Assemblée de Corse.
A la différence des résultats nationaux des élections régionales, [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]www.par5club.com/louboutin.php[/url] ce n'est pas la défaite de [url=http://tazawa.net/mas/cgi-bin/ebs/bbs/bbs02.cgi]hollister france Nicolas Sark[/url] la droite qui a mobilisé l'attention (21,34 % des suffrages), mais le score obtenu par les deux listes nationalistes : 28 %, soit trois points de mieux que le record historique de 1992 où autonomistes et indépendantistes, scindés en trois listes, avaient raflé le quart des suffrages.
Avec 18,5 % des voix, le grand gagnant du scrutin est la liste conduite par le ticket -. [url=http://www.sidegemeinde.com/peutereyoutlet.php]peuterey outlet[/url] Accouchée dans la douleur au terme d'un processus de négociation ponctué de coups de sang et semé d'emb?ches, cette formation s'impose comme la troisième force électorale locale, derrière une gauche divisée et une droite très affaiblie.
Placés en position d'arbitres, les nationalistes se présentent au deuxième tour face à une droite très affaiblie - 21,34 % des suffrages, sept points de moins qu'en 2004 - et en perte [url=http://www.riad-marrakesh.fr]abercrombie pas cher[/url] de vitesse, minée par les dissensions au sommet de l'UMP locale entre , président sortant de l'Assemblée de Corse et intime du président de la République, et Ange Santini, "patron" du Conseil exécutif, le mini-gouvernement de la Corse.
En s'associant, MM. Simeoni et Angelini n'ont pas seulement réalisé le "coup" électoral habituel chez les nationalistes : ils ont [url=http://cnmgwx.com/home.php?mod=space&uid=23175][/url] démultiplié leurs chances de réussite. Le premier, Gilles Simeoni, avocat d', condamné pour l'assassinat du préfet Erignac, a pu sur sa seule présence plusieurs centaines de personnes à chaque meeting de campagne, labourant un électorat avide de changement et peu satisfait de la mandature passée. Fils d', leader historique de la revendication [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour deutschland[/url] nationaliste, il a été à l'origine d'une stratégie inédite chez les nationalistes en proclamant pendant la campagne une nécessaire ouverture en direction de toutes "les forces de progrès".