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Cette migration temporaire se fait souvent par le biais d'intermédiaires comme entre pays du Golfe et pays asiatiques. Entre l', , le Koweit ou encore Bahrein et des travailleurs qui viennent du , des ou du , le système lie l'employé directement à l'employeur. Le lieu de résidence est, par exemple, attaché au contrat de travail. Selon , "en dehors de cette relation, le travailleur n'a pas d'existence légale, ce qui donne lieu à toutes sortes d'abus".
R?GLES SUPRANATIONALES
Les ONG sont "inquiètes d'une récupération du thème migratoire par les Etats dans la seule optique du développement, en se dédouanant de la question des droits de l'homme", estime , chercheur à l'Institut de recherche et de développement.
Le v?u des grandes ONG est de le Forum en agence onusienne, un processus auquel [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] rechignent [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] les Etats d'accueil redoutant par-dessus tout de se des règles supranationales. La convention de 1990 (ONU) sur les droits des travailleurs migrants et leurs familles n'a été signée que par 43 Etats, [url=http://www.mansmanifesto.fr/category/doudoune-moncler-homme/]doudoune moncler homme[/url] tous du Sud, et "rejetée par tous les pays d'accueil parce qu'elle ouvre le droit à la protection des sans-papiers", rappelle Mme .
A l'issue de la rencontre mexicaine, l' du Forum appara?t sinon compromis du moins incertain. Madrid (Espagne), qui devait la prochaine édition en 2012, a jeté l'éponge et a été remplacé [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] par la . Rabat (Maroc) qui devait l' en 2013 a également renoncé. Ce qui n'empêche pas certains Etats, comme le Mexique ou le , d' joué un r?le de "locomotives" à Puerto Vallarta, [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] estime M. Meyer. Pays de départ tout en étant pays d'accueil et de transit, ces gouvernements ont le sentiment d'être au centre du processus migratoire.
(), le mouvement associatif a dénoncé les "politiques inadéquates en matière d'immigration en temps de crise". Les syndicats internationaux, réunis dans le réseau , ont critiqué le choix des Etats de privilégier les programmes dits "temporaires" qui n'offrent aucune garantie aux travailleurs.
Claire Courteille, qui représentait au Mexique la Confédération syndicale internationale (CSI), cite l'exemple d'un programme signé entre le et le . "Dans la convention, les passeports sont gardés par les autorités du pays d'accueil, les migrants n'ont pas le droit de une organisation syndicale ni de s'en , ils ne doivent pas un autre travail, résume Mme Courteille. Bref, ils n'ont aucun droit." Global Unions dénonce le "colportage agressif" qui est fait autour de ces programmes de migration temporaire, dans les pays d'origine comme dans ceux [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] de destination.
Comme lors des forums précédents, celui de Puerto Vallarta a été précédé par la rencontre des acteurs de la société civile et par un forum alternatif, "l'action globale des peuples pour la migration". Avec une nouveauté toutefois puisque le Forum lui-même avait prévu un "espace" commun entre Etats et société civile.
L' des migrants des systèmes de protection sociale, le dumping lié à l'absence de droits, les tensions [url=http://kizuna-shuzenji.com/form/cgi/postmail/postmail.cgi]barbour uk 3 Ways To Save Mon[/url] qui en [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] résultent avec les salariés du pays d'accueil... sont autant d'éléments de crises. "Il y a une vraie hypocrisie des gouvernements [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] qui tiennent des discours durs sur l'immigration et y font appel de fa?on temporaire sans lui de garantie", dit Mme Courteille. Mais des avancées existent, selon elle, citant un accord entre le et l' négocié avec les [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] syndicats et garantissant des droits similaires aux travailleurs migrants et nationaux.
"HYPOCRISIE DES GOUVERNEMENTS"
Initié en 2007 à Bruxelles, le [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] Forum, qui ne fait pas partie du système des Nations unies, est ouvert à tous les membres de l'ONU. Depuis cette date, "la question migratoire est sortie du champ [url=http://bbs.adyun.com/forum.php?mod=viewthread&tid=69619]barbour Les Urgences en question - LeMonde.fr[/url] bilatéral pour l'objet d'une plateforme mondiale, elle a quitté le seul terrain sécuritaire et du contr?le du territoire", écrit Catherine Wihtol de Wenden, directrice au d'études et de recherches internationales de Po, dans [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] [url=http://cgi.www5d.biglobe.ne.jp/~rainman/keiji4-1235/yybbs.cgi]moncler sito ufficiale La pol[/url] son tout dernier livre consacré à La question migratoire au XXIe siècle (Presses de Sciences Po, novembre 2010, 261 pages, 17 euros).
Alors que les flux migratoires ont ralenti sous l'effet de la crise, selon l'OCDE qui a noté un recul en 2008 et 2009 après cinq ans de hausse continue, les débuts de reprise dans les pays occidentaux pourraient se par de nouvelles migrations économiques. Et un recours accru aux contrats temporaires.
Les intérêts entre pays de départ et pays d'accueil étant divergents sur à peu près tout, "l'existence même d'un lieu de dialogue est en soi un progrès car la question migratoire qui [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] souffre d'un excès de politisation tant au niveau national qu' a besoin d'être dépassionnée", estime , qui représentait l'OCDE au FMMD.