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arpenté les fédérations pendant trois mois pour la bataille de la présidence du parti, il a débuté une autre tournée pour de les militants qu'il a bel et [url=http://www.farm-biz.co.jp/cgi-bin/light/light.cgi?page0=val]barbour sale Seven Brilliant [/url] bien gagné. Devant quelque 250 adhérents et sympathisants réunis à [url=http://www.sidegemeinde.com/peutereyoutlet.php]peuterey outlet[/url] Chartres, lundi 10 décembre, le président proclamé se lance d'abord dans [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister outlet[/url] un long discours où il se présente comme "l'homme à abattre".
"J'ARR?TE [url=http://cgi.www5d.biglobe.ne.jp/~rainman/keiji4-1235/yybbs.cgi]abercrombie Is Utilizing An I[/url] LE MILITANTISME"
Mais l'homme insiste : "Je ne trouve pas souhaitable que vous soyez là. Pour [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour france paris[/url] que le débat soit impartial, il aurait fallu que M. Fillon soit là. Vous auriez été élu, il n'y aurait pas de problème, mais là, votre élection est contestée." "Il y a des faits, ils sont incontestables, le résultat a été proclamé deux fois de suite", répond M. Copé, imperturbable avant de s' : "Je serais élu pour deux cents ans, je dirais "OK, il y a un problème", mais là je le suis pour trois ans et je propose de mon mandat par deux !"
Un autre élu renchérit : "Revoter en 2014, ce n'est pas une bonne idée, il faut qu'on arrive à tout avant mai." La tension est palpable. Un vieux gaulliste constate : "Pendant qu'on se bagarre, les socialistes rigolent. Soit on revote, soit on se met d'accord, mais qu'on arrête [url=http://cgi.ebay.com.au/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=110854464629]louboutin Rapport Gallois M[/url] notre ."
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Il explique ensuite sa proposition pour du conflit sans fin qui l'oppose à Fran?ois Fillon : un nouveau vote au lendemain des de 2014 alors que son rival le réclame "dans les plus brefs délais".
Un homme bout sur sa chaise, le regard noir. Lorsque M. Copé se vante en se déclarant "très bon organisateur", le militant [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] ne se [url=http://www.shewyne.com/woolrichoutlet.html]woolrich sito ufficiale[/url] tient plus et tonne : "Pas pour les élections en tous cas !" Sa remarque est accueillie [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister uk[/url] par quelques huées. Le député de Seine-et-Marne la "joue zen" : " Cool, cool, l'enjoint-il, on est de la même ." Il explique qu'il a "tendu la main" à M. Fillon. "On échange", [url=http://www.fibmilano.it]woolrich[/url] ajoute-t-il, en faisant allusion à leurs multiples rencontres depuis la semaine dernière.
Michel, la soixantaine, lunettes, chemise claire et gilet bleu, attaque : "La légitimité de votre élection est contestée. Moi je n'ai jamais vu un président élu après trois jours : "j'ai oublié de trois départements". Votre élection, je ne peux pas l'. Pour moi, c'est un genre de putsch que vous avez commis."
"C'EST UN GENRE DE PUTSCH"
En réponse, M. Copé cite une phrase du film La vérité si je mens : "donnez votre chance au produit". Un vieux monsieur fustige le "dialogue de sourds" entre les deux adversaires. La députée Laure de La Raudière, qui avait soutenu Bruno Le Maire, réclame une nouvelle élection ainsi que la [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] dissolution du groupe filloniste à l'Assemblée nationale.
Mais les bras se lèvent encore pour réclamer la parole comme celui de cette dame qui provoque [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] l'hilarité générale en proposant "un vote par Minitel". Il est temps d'en . Un homme se lève au fond de la salle et crie : "Et comment va ?" Tout le monde applaudit, heureux de se enfin un point d'accord. "Il est bien triste", répond Jean-Fran?ois Copé qui en profite pour le débat. Les amis d'hier se séparent en fredonnant une Marseillaise a cappella.
Le maire de Meaux encaisse : "On est en désaccord, ?a peut , les mots sont blessants, mais c'est ainsi." Il en profite pour des fraudes supposées des fillonistes à Nice. Une dame [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour deutschland[/url] coiffée [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister france[/url] en chignon résume : "C'est un peu la chienlit. Je demande un nouveau vote, peut-être avec une troisième personne." Il est 22 h 50, Jean-Fran?ois Copé regarde sa montre et sourit : [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] "On va peut-être arrêter là, demain il y a école."
"VOTRE ?LECTION EST CONTEST?E" ?

Trop tard, le grand déballage est lancé. C'est un jeune de 17 ans qui prend la parole. Il a voté en faveur de M. Fillon : "On ne saura jamais la vérité, l?che-t-il, pourquoi ne vous partagez-vous pas la présidence ?" Un homme d'une quarantaine d'années encha?ne : "Je suis très en colère, la base n'est pas entendue par le haut. J'arrête complètement le militantisme, je suis dé?u."
"Faut-il se une deuxième fois ce que nous venons de avec les mêmes statuts ? Les mêmes causes produiraient les mêmes effets, ce serait suicidaire", explique-t-il d'un ton solennel. Il parle depuis plus de trente minutes et pas un applaudissement ne retentit dans la salle où ses soutiens sont pourtant majoritaires. Certains présents croisent ostensiblement les bras en signe de défi pour leur désapprobation.