cleoy6v2y
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Wysłany: Pon 12:58, 16 Wrz 2013 Temat postu: hollister Yves Le Bars Sortir d'une informatio |
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Nommé il y a un an à la tête de l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (ANDRA), Yves Le Bars regrette aujourd'hui les difficultés rencontrées par la mission de concertation sur un deuxième laboratoire et promet un dialogue accru avec [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] " tous les acteurs de la société ".
Comme beaucoup d'autres organismes traitant du nucléaire, l'ANDRA s'est vue reprocher une certaine culture du secret. Qu'est-ce qui permet de dire, très concrètement, que ce temps est révolu ?
Yves Le Bars. L'ANDRA n'a pas de culture du secret, à proprement parler. Disons qu'il y a des pratiques d'ingénieurs qui ne [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] favorisent pas la communication. Il nous faut donc sortir d'une information passive, dialoguer davantage avec tous les acteurs de la société, gr?ce à des instances de négociation plus nombreuses. C'est ce [url=http://www.lcdmo.com/jordanpascher.php]jordan pas cher[/url] que nous avons essayé de faire autour de l'inventaire national des déchets. Un atelier de cinquante personnes a été mis en place, avec des industriels, des représentants de l'administration, mais aussi avec des associations, comme la CRII-RAD (Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité), Robin des Bois, France Nature Environnement, ACRO (Association pour le contr?le de la radioactivité dans l'ouest) ou le Groupement des scientifiques pour l'information sur l'énergie nucléaire (GSIEN). Greenpeace, en revanche, n'est pas venu ni le réseau [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] Sortir du nucléaire, qui refuse de discuter si on n'arrête pas les travaux du [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] premier laboratoire de Bure. On ne peut donc pas parler de culture du secret. En résumé, on travaille bien, mais on ne prend pas assez le temps d'expliciter nos objectifs scientifiques.
Quelles sont les maladresses que vous reconnaissez avoir commises dans la désignation du premier laboratoire et que vous ne commettrez plus pour [url=http://www.lcdmo.com/jordanpascher.php]air jordan pas cher[/url] le deuxième ?
Yves Le Bars. Je ne voudrais pas me placer en juge. Mais je pense qu'il faut désormais mettre en place de véritables contrats avec les territoires concernés. Des contrats qui doivent reconna?tre la valeur que ces territoires mettent à la disposition de la collectivité nationale. Dire que l'ANDRA a pu acheter des consciences autour du laboratoire de Bure relève du procès d'intention. Car il y a bien une transaction à établir entre la nation et les régions qui mettent [url=http://www.rivaluta.it/css/moncler.html]moncler sito ufficiale[/url] à disposition leur richesse géologique. Il est normal que cette richesse soit rémunérée. Ainsi, je pense qu'il ne faut pas mettre les stockages géologiques dans des déserts, pour que les territoires puissent conserver une mémoire de cette servitude acceptée.
Et ce ne sont pas des déserts aujourd'hui ?
Yves Le Bars. La géologie a des contraintes. Mettre les déchets sous le parc de Versailles, je veux bien, mais il y a des critères à respecter. On nous accuse d'avoir retenu, dans la liste des sites envisagés pour le deuxième laboratoire, des zones pauvres, à la frontière de plusieurs départements. Et ce, à dessein. Ce n'est pas vrai. C'est simplement lié au type de granite choisi, un granite affleurant, qu'on trouve plut?t sur des sommets, et dans des zones plut?t pauvres sur le plan agricole.
Comment interprétez-vous l'accueil très hostile fait à la mission granite sur le terrain ?
Yves Le Bars. J'ai été très surpris par la [url=http://www.davidhabchy.com]barbour factory shop[/url] haine et la violence qui se sont manifestées autour de la mission et qui a abouti à un refus vigoureux du dialogue. Je ne pensais pas que les gens allaient considérer le simple fait de venir parler de la gestion des déchets radioactifs comme une violence. Le problème était sans doute enfoui, refoulé et il est ressorti brusquement. Les anti et les pro nucléaire jouent une sorte de guerre psychologique, une guérilla d'action et de pression sur les locaux que je croyais ne plus exister chez nous. Il y a une sorte de crispation sur des images caricaturales, qui est surtout le fait, sur ce dossier, des anti-nucléaires.
Et le fait que la mission envisage désormais de ne plus se rendre sur le terrain, en communiquant simplement par écrit avec les différents sites concernés ?
Yves Le Bars. C'est dommage. La logique de la loi Bataille, votée en 1991, est une logique de concertation et de recherche scientifique. Il faut continuer dans cette voie-là. D'une certaine manière, la mission a été le révélateur d'une impréparation. Cela révèle que ce type de méthode n'est pas si courant que cela et que la société n'y est pas vraiment prête.
Une [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey prezzi[/url] concertation est-elle possible sur un sujet aussi sensible ?
[url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] Yves Le Bars. Ma na?veté... non, ma conviction me fait croire qu'on ne gagne pas au refoulement de ce type de sujet. Un jour ou l'autre, on le paye. Et plus on tarde, [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] plus c'est co?teux. À ce titre, la question des déchets est emblématique des problèmes de dialogue de la société autour du nucléaire.
Un deuxième laboratoire est-il indispensable à la recherche ?
Yves Le Bars. On discute de cela. Je pense que le granite (qui doit accueillir ce deuxième laboratoire, NDLR) offre des qualités spécifiques : il résiste mieux que l'argile, la réversibilité y est meilleure, il est aussi moins co?teux en termes d'entreposages préalables... Mais nous n'avons le fétichisme d'aucune roche. La loi Bataille parle de " laboratoires " au pluriel. Sans faire une analyse juridique, je pense que c'est une indication à suivre.
Quel sont les co?ts d'un laboratoire et d'un site de stockage ?
Yves Le Bars. Pour un laboratoire, 1,5 milliard de francs, ce qui comprend les travaux de surface, le creusement des galeries profondes et les études scientifiques qui doivent y être menées. Car il ne s'agit pas seulement de faire un trou. Pour un site de stockage, c'est plus flou, puisque nous [url=http://www.bankonco.com/hollister.php]hollister[/url] n'avons pas de projet bien défini. Mais cela tourne entre 30 milliards et 60 milliards de francs. Aujourd'hui, on ne peut pas être plus précis.
Propos recueillis par A. F.
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