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attendait sa convocation, demandant à être entendu à deux reprises. Traumatisé, selon certains de [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] ses amis socialistes, par les interpellations, avant No?l, à leur domicile, de protagonistes de l', il redoutait qu'on vienne le "chez lui, toutes sirènes hurlantes", à [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] l'heure du laitier. Et espérait être interrogé avant de se à un nouveau colloque, le 27 mars, à Bruxelles cette fois, à l'invitation du président de l'Eurogroupe, Jean-Claude Juncker – l'homme qui l'avait poussé à la tête du Fonds monétaire (FMI).
Concernant le recel d'abus de biens sociaux, il expliquait encore à M. Taubmann: "Quand on vous invite à une soirée, vous ne demandez pas à la facture, pour vérifier si c'est votre ami ou son entreprise qui paie." Me Leclerc est tout aussi s?r de lui: "Où est-ce que vous avez la moindre esquisse de commencement de preuve concernant [l'abus de biens sociaux]?"
Placé en garde à vue, son audition peut jusqu'à 96 heures, même s'il est peu probable qu'elle dépasse les 48 heures. L'ex-patron du FMI peut alors soit libre – et ne plus être inquiété dans cette affaire (comme Jacques Mellick junior, le 30 janvier), ou bien être convoqué ultérieurement par les juges d'instruction, comme l'avait été Jean-Claude [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] Menault, l'ex-patron de la PJ lilloise, qui n'a pas été mis en examen. Soit enfin, être déféré devant la à l'issue de sa garde à vue, comme témoin assisté ou comme mis en examen.
Les juges lillois, qui ont mené les interrogatoires à leur [url=http://www.ktbruce.co.uk/mulberrysale.php]mulberry outlet[/url] rythme, ont convoqué l'ancien directeur général du FMI. Mardi matin 21 février, l'ex-favori des socialistes pour la présidentielle sera interrogé par les enquêteurs de la lilloise chargés de l'affaire du Carlton, dans une caserne de gendarmerie tout juste rénovée, au de Lille.
"ILS N'ONT PAS LA MATI?RE ? ME EN EXAMEN"
Contrairement à la législation belge ou américaine, le recours aux d'une prostituée n'est pas interdit en France. Mais il [url=http://www.ktbruce.co.uk/mulberrysale.php]mulberry sale[/url] pourrait être reproché à l'ancien patron du FMI une complicité de [url=http://www.t-craft.com/erio/yybbs/yybbs.cgi?ref=3b.org+result:+%E9%80%89?%E6%B3%A8?%E6%B2%A1%&8203;fb]hollister deutschland AQMI as[/url] proxénétisme (s'il a contribué à la venue des jeunes femmes) et un éventuel recel d'abus de biens sociaux s'il s'avérait qu'il savait que ces soirées et voyages étaient financés [url=http://park11.wakwak.com/~yda/cgi-bin/kokoa/keitaibbs2/epad.cgi]barbour.co.uk Il y a quarante[/url] par des s, notamment la filiale d'un groupe de BTP, Eiffage. D'où [url=http://www.ktbruce.co.uk/barbourjackets.php]barbour[/url] l'intérêt de quelques personnages-clés de ce dossier, sur lesquels les juges vont DSK. Tel , cet entrepreneur socialiste du Pas-de-Calais, ami de l'ancien candidat aux primaires et connu d'autres strauss-kahniens.
DES SOIR?ES LIBERTINES ORGANIS?ES ? PARIS, BRUXELLES OU WASHINGTON
C'est en enquêtant sur [url=http://www.agentparadise.com]woolrich outlet[/url] les "5 à 7" de l'établissement que les juges ont découvert l'existence de soirées libertines organisées à Paris, Bruxelles ou Washington, et dont DSK était le plus illustre participant. Leur dossier a alors pris une nouvelle tournure: il y avait les après-midi [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour france paris[/url] du Carlton, et l' sur les soirées DSK.?Les juges en ont dénombré une bonne dizaine: à l'H?tel Murano et au sous-sol du restaurant-club L'Aventure, à Paris, dans des studios d'enregistrement à Bruxelles, ou à l'H?tel W de Washington.
Sauf que toutes les auditions –notamment [url=http://www.global-view.cn/bbs/forum.php?mod=viewthread&tid=20529]hollister sale Le frère dOscar Pistorius, Carl, inculpé pour homicide volontai[/url] des "filles" – n'ont pas été versées au dossier. , avocat de René Kojfer, Me , conseil du patron du Carlton, ou encore Me , avocat de , le patron de la filiale d'Eiffage, s'en sont offusqués. Ce dernier se désole au passage [url=http://www.fibmilano.it]woolrich[/url] de la "clintonisation" d'un pays où "un gros consommateur de femmes devient un sex-addict qui doit se et repentance..."
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"Il pouvait parfaitement qu'il s'agissait de professionnelles, assurait à son tour son avocat, [url=http://www.giuseppezanottipaschere.com]giuseppe zanotti sneakers[/url] Me Henri Leclerc, le 8 décembre, sur Europe1, parce que figurez-vous que dans ces soirées on n'est pas forcément habillé. Et je [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] vous défie de une prostituée [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] nue d'une femme du monde nue." "Ils n'ont pas la matière à me en examen", répétait ce M.Strauss-Kahn.
"Je n'ai jamais rien fait d'illégal (...). La prostitution, le proxénétisme, je les ai en horreur. Ce n'est pas moi", s'indignait l'ex-patron du FMI, le 16 octobre, devant , auteur d'Affaires DSK, la contre-enquête (Ed. du Moment). "J'ai participé à des soirées libertines, c'est vrai. Mais d'habitude, les participantes à ces soirées ne sont pas des prostituées. (...) Quand quelqu'un vous présente sa copine, ne lui demandez pas si c'est une prostituée", ajoutait DSK.
Dans cette affaire lancée en février 2011 sur des faits de proxénétisme h?telier pour des passes organisées à l'H?tel , huit personnes, dont un avocat, Me , et un commissaire de police, , ont été mises en examen. La plupart le sont pour "proxénétisme aggravé" et "association de malfaiteurs". La justice soup?onne notamment René Kojfer, le chargé?des relations avec la presse de l'h?tel, d' présenté de jeunes prostituées à des amis notables.