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On vient r?der [url=http://www.marrakech-hotel.fr]hollister france[/url] aussi autour de l'histoire de ce maire et son impressionnante popularité. Un responsable Front national du Nord s'est empressé de l' de son soutien, un autre du Mouvement national républicain du Rh?ne lui adresse son magazine. Et ne manque désormais plus une occasion de lui hommage. Lorsqu'il l'a entendu évoquer une première, puis une seconde fois, "l'affaire de la gifle", Maurice Boisart confie été un peu mal à l'aise. "Que le président de la République apporte son soutien à un petit maire du Nord, je suis d'accord, c'est dans le cadre de ses fonctions. Mais pas dans le but d'une récupération ."
Ils se disent "outré", "écoeuré", "indigné", [url=http://ftp.zjnxedu.cn/GuestBook.asp]barbour sa[/url] "scandalisé", "ulcéré", "effaré", "consterné" et peut-être plus encore "désorienté" par le jugement qui a condamné . Au nom de la gifle "d'utilité publique", ils sont prêts à se . "Jamais de ma vie, je n'ai manifesté dans la rue. Là, je suis décidé à le faire", écrit Paul, 62 ans. Nouredine demande comment "pour mon modeste soutien de 10 euros". Un ancien commandant de gendarmerie et un "vieil instit écoeuré" proposent, eux aussi, de financièrement, une "mère de deux adolescents" a scotché une pièce d'un euro à sa lettre.
On convoque Platon - en au moins six exemplaires - "Lorsque les pères s'habituent à faire les enfants. Lorsque [url=http://www.matsue-yado.com/otoku/clip.cgi]hollister deutschland Learn M[/url] les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles. Lorsque les ma?tres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les (...) alorsc'est le début de la [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] tyrannie", pour mieux "le geste de père de " de Maurice Boisart. On s'en prend au "galopin", [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] "voyou", "sauvageon", "petit con", "petit morveux", "vaurien", "jeune crétin", "racaille" ou "garnement" qui lui faisait face. "N'ayez pas honte", "vous vous êtes comporté en citoyen", "vous devriez la Légion d'honneur, plut?t qu'une amende", "ne soyez pas triste, c'est le monde qui ne tourne pas rond, pas vous". Un chef de service de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent lui propose son témoignage en appel : "Le jeune qui vous a menacé aurait d? honte, et son père aurait d? sa honte en le punissant. En agissant comme vous l'avez fait, vous avez simplement assumé une position d'adulte." Un maire du Rh?ne approuve : "La méthode peut être contestée, mais ce n'est pas le geste en lui-même qui importe, c'est ce qu'il symbolise. Vous avez refusé le laisser-faire."
"Où va notre ?", s'interrogent-ils, qui "laisse s' les incivilités", "contribue à un certain sentiment d'impunité et à réduire encore l'autorité", "préfère les malfrats", "inique et honteuse". Et que font ces juges, "des nantis soixante-huitards trop bien payés", qui "vivent dans un monde où ils sont à l'abri des tracas quotidiens" ?
De ce sondage grandeur nature émerge une France nostalgique d'une époque où l'on respectait "Monsieur le maire", mais aussi "l'instit" [url=http://www.shewyne.com/woolrichoutlet.html]woolrich sito ufficiale[/url] ou "le professeur". Ils sont nombreux, d'ailleurs, enseignants actifs ou retraités, inspecteur d'académie, proviseur de lycée ou principal de collège "avec palmes académiques" à pris la plume pour s'. Une professeure de : "Ce que vous avez subi est notre lot quotidien, particulièrement dans un petit collège de campagne comme le mien."
Alors, on s'interroge dans l'Aisne : "Marine ferait-elle mieux ?" Dans la Sarthe : "Va-t-il pour le respect de nos valeurs et de nos élus ?" On s'inquiète au Pouliguen : "Tout cela fait le jeu des extrémistes de tout bord que je ne cautionne pas." On soupire à Cousolre : "Quand un chef [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister outlet[/url] d'Etat dit à l'un de ses concitoyens : "Casse-toi, pauvre c...", ne soyez pas surpris des insultes des jeunes."
Plus encore que les juges, ce sont les parents "fuyant leur responsabilité d'éducateurs", "débordés par toute cette société matérialiste" qui sont montrés du doigt. "Ils ont baissé les bras", "se déculpabilisent en encensant leur progéniture". "Jusqu'où ira l'imbécillité d'une société qui oublie d'éduquer ses enfants [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] ?", demande Janine, de Charente. "Aujourd'hui, lesfamilles n'ont qu'un seul [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] principe : mes enfants ont toujours raison", assure ce maire et ancien enseignant qui dit constaté "la démission progressive des parents". Au règne de "l'enfant-roi", une mère oppose cet adage entendu de la bouche de son père : "Il disait toujours : "Si tu ne veux pas que ton enfant [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister[/url] te fasse quand il aura 15 ans, fais-le quand il en a 3.""
Des "gifles", "calottes", "claques", "torgnoles" ou "petites corrections", ils en revendiquent quelques-unes. De Gif-sur-Yvette, une professeure retraitée d'histoire-géo raconte giflé l'une de ses élèves qui, lors d'une projection en classe du film Nuit et brouillard, avait éclaté de en voyant les femmes nues emmenées à la chambre à gaz. "A la fin de l'heure, c'est elle qui est venue s'. Et, quelques années plus tard, alors qu'elle assistait à une réunion pour sa plus jeune soeur, elle a raconté que ce geste lui avait appris, pour la vie, le respect de l'autre", écrit-elle. "Je ne suis pas un adepte des fessées ou des gifles, mais dans un pareil cas, mon fils en aurait pris une seconde", écrit Eric. Comme Naguib, qui affirme : "Si mon fils avait insulté une personne plus ?gée, je peux vous qu'il aurait entendu du pays !"
Dans la pile de courrier, M. le maire saisit trois lettres. Celle d'un homme à l'écriture maladroite qui lui demande d' ses fautes d'orthographe "parce que je ne suis pas allé longtemps à l'école", une carte postale de Bastia signée Angèle et Rosa, qui lui envoient "un peu de notre soleil, c'est tout ce que l'on peut vous offrir". Et les mots griffonnés par ce père : [url=http://www.fibmilano.it]woolrich outlet[/url] "Je viens de mon fils de 15 ans qui jouait dans un chantier près de la maison, après enjambé un grillage. Pourquoi aucun adulte n'était-il là ce jour-là, pour le et l'empêcher de ?"
On dit son incompréhension sur une carte de visite personnelle ou un bristol professionnel. On griffonne quelques mots de réconfort au dos d'une carte postale de Notre-Dame-de-l'Assomption à Clermont-Ferrand, d'une vue de la corniche en Vendée, d'une plage de , d'un ch?teau de la Loire, du beffroi d'Evreux, des vieilles maisons de Fougères, d'un quartier de Toulon, ou de la cité de Carcassonne. On affiche sa solidarité sur papier à en-tête officiel d'une mairie ou d'un conseil général. On partage son désarroi et on en profite pour sa vie sur un feuillet double orné d'une grappe de raisin, d'un bouquet de fleurs ou d'un papillon.
Avec le monde enseignant, les maires sont nombreux à s'être manifestés. "Nous nous sentons abandonnés par la République qui est censée nous protéger d'individus qui connaissent leurs droits mais ignorent leurs devoirs." Ils dénoncent un jugement "qui traduit une méconnaissance des réalités du terrain" et "rend un mauvais service au civisme et, au final, à la démocratie".
mon soutien moral...", "Rempli d'une réelle indignation, je me permets de vous ces quelques lignes de réconfort...", "C'est le coeur serré, mais aussi révolté que je vous écris...", "Simple citoyenne, permettez-moi de vous part de ma sincère sollicitude...", "Au nom du conseil municipal unanime, je tiens à vous de notre entière solidarité...", "Mon voisin se joint à moi pour vous part de son estime...", "J'ai 59 ans et ma mère de 85 ans est dans le même état d'esprit que moi, nous vous soutenons..."
Ceux-là n'ont pas attendu que "l'affaire de la gifle" s'invite dans le débat présidentiel. Depuis qu'il a été condamné, le 17 février, à 1 000 [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] euros d'amende avec sursis pour giflé un adolescent de son village qui escaladait un grillage, Maurice Boisart, 63 ans, maire de Cousolre (Nord), a re?u plus de mille cinq cents messages de soutien. Et ce n'est pas fini. Chaque jour, une épaisse chemise remplie de nouveaux courriers est déposée sur son bureau. On écrit de toute la France, grandes villes, , sous-préfectures ou villages, mais aussi de la toute proche, de , des Etats-Unis ou de Bangkok. Par courriel, bien s?r, mais surtout par lettres. On jette sa colère au stylo-bille sur une simple page de bloc-notes à petits carreaux, ou à la plume sur un épais vélin.
Cette gifle qui a échappé au maire de Cousolre un jour d'ao?t 2010, c'est la leur. Comme celles qu'ils ont données, celles qu'ils ont re?ues, celles qui, pour eux, se sont trop perdues. De ce roman épistolaire national, c'est peut-être cela que l'on retient d'abord : la France est un pays de giflés reconnaissants et de gifleurs assumés. "J'ai 78 ans, un casier judiciaire vierge, et je le dois en partie à la sanction immédiate qui suivait mes nombreuses incartades.""Je suis chauffeur routier et je remercie mon instituteur de m' baffé. D'ailleurs, je lui téléphone de temps en temps.""Je me souviens de la gifle magistrale re?ue de mon instit quand j'avais 12 ans parce que je chantais trop fort dans les escaliers, la punition avait été mentionnée dans mon cahier du jour, mon père la tripla.""Un grand merci pour ce geste trop rare. J'ai 57 ans, j'en ai fait des bêtises quand j'étais jeune, mais je me serais biengardé d'en à mes parents, j'en prenais au [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] moins une deuxième."
Une autre a simplement joint à [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour pas cher soldes[/url] ses quelques mots de soutien un dessin humoristique : 1969, une institutrice droite et sévère, en chignon, regarde deux [url=http://www.aikis.or.jp/~aono-kcu/aska/aska.cgi]louboutin pas cher Banalisati[/url] parents furieux à leur fils honteux : "C'est quoi ces notes ?" 2009 : devant un gamin hilare, les mêmes parents furieux s'en prennent à l'enseignante tremblante de peur : "C'est quoi ces notes ??" Un assistant d'éducation époux d'une enseignante, se lamente : "Nous sommes confrontés tous les jours aux adolescents et à leur manque total de respect sans qu'aucune sanction ne soit jamais appliquée." Un médecin de Troyes lui fait écho : "Nous rencontrons de plus en plus de difficultés avec les incivilités répétées de nos patients." Un pompier renchérit : "Les gendarmes ne sont plus respectés, les pompiers sont caillassés, bref, y en a marre." Un couple de "jeunes commer?ants" confirme : "Chez nous, c'est tous les jours." Un surveillant pénitentiaire observe : "Comme vous, je vois la société en vrille."

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Three Categories of People Who Normally Procure Airsoft RiflesArticle Summary: There are some three categories [link widoczny dla zalogowanych] of people who normally procure airsoft rifles. The airsoft rifles in question here are meant to be used in a fun-filled undertaking referred to as 'airsoft' which is basically a (safe) real-life battlefield combat situation simulation
There are some three categories of people who normally procure airsoft rifles. The airsoft rifles in question here are meant to be used in a fun-filled undertaking referred to as 'airsoft' which is basically a (safe) real-life battlefield combat situation simulation. Airsoft to some people is just a hobby (perhaps an eccentric hobby, [link widoczny dla zalogowanych] along the same lines as mountain climbing). To other people, it is a game. Yet to other people, it is a serious undertaking, like, for instance, a professional training undertaking - as we will be seeing later. So our objective here is to understand who procures the rifles and for what purpose.
We do have to mention that these three categories of people who normally procure airsoft rifles are also, to a large extent, the categories of people who procure airsoft shotguns. The relationship between the rifles and the airsoft shotguns is a close one. For one, the rifles are normally manufactured in the same places as the airsoft shotguns. Secondly, the rifles [link widoczny dla zalogowanych] are normally sold in the same shops, alongside the airsoft shotguns. Thirdly, for the most part, the rifles are used in the same basic way as the airsoft riffles but, of course, for different activities. We won't get bogged down with all this. Instead, we will [link widoczny dla zalogowanych] go back to our exploration of the three categories of people who normally procure airsoft riffles (those also being, for the most part, and as we have seen, also the categories of people who procure airsoft shotguns).
The first category of people who normally procure airsoft rifles is that of individuals who have airsoft as one of their hobbies. Having taken up airsoft as a hobby, the next step is normally that of buying the necessary gear - and it [link widoczny dla zalogowanych] is at this stage that the people in question come to realize that they actually need to consider buying their own airsoft guns. The guns are, after all, not so [link widoczny dla zalogowanych] expensive: yet having them frees one from the inconveniences of having to rely on other people's guns (or having to hire the guns perpetually, which, in the long run, can end up being much more costly).
The second category of people who normally procure airsoft rifles is that of the folks who operate the parks where airsoft is offered as a recreational activity. These people realize that not all people coming to their parks will have their own guns. That is especially the case for people who are new to airsoft: those being people who normally have to take part in this particular activity for quite sometime, before they can see the need to have their own guns. So what the park operators do is basically buy the guns with the objective of hiring them out to people who are yet to buy their own.
The first category of people [link widoczny dla zalogowanych] who normally procure airsoft rifles is that of individuals who have airsoft as one [link widoczny dla zalogowanych] of their hobbies. Having taken up airsoft as a hobby, the next step is normally that of buying the necessary gear - and it is at this stage that the people [link widoczny dla zalogowanych] in question come to realize that they actually need to consider buying their own airsoft guns. The guns are, after all, not so expensive: yet having them frees one from the inconveniences of having to rely [link widoczny dla zalogowanych] on other people's guns (or having to hire the guns perpetually, which, in the long run, can end up being much more costly).
The second category of people who normally procure airsoft rifles is that of the folks who operate the parks where airsoft is offered as a recreational activity. These people realize that not all people coming to their parks will have their own guns. That is especially the case for people who [link widoczny dla zalogowanych] are new to airsoft: those being people [link widoczny dla zalogowanych] who normally have to take part in this particular activity for quite sometime, before they can see the need to have their own guns. So what the park operators do is basically buy the guns with the objective of hiring them out to people who are [link widoczny dla zalogowanych] yet to buy their own.
The third category of people who normally procure airsoft [link widoczny dla zalogowanych] rifles is that of the folks who manage the police training academies where airsoft is used to teach things like marksmanship. These people buy the rifles as part of their training equipment. The trainees who are able to master the use of the airsoft guns are then taken to the next phase of training, and ultimately to the phase where they can work with real guns and real ammunition [link widoczny dla zalogowanych] (in safely secured shooting training ranges).
(c)
Article Source: uPublish.info
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