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de Budapest, d'innombrables devantures vides affichent des écriteaux "A louer". Les magasins proposent des soldes de 50 % à 70 % pour d' le chaland. Ces dernières années, le d'achat s'est réduit comme peau de chagrin en où le taux de ch?mage dépasse toujours les 11 %.
Ce régime sec a porté ses fruits. Le déficit devrait être plafonné cette année à 3,8 % du PIB. Mais le gouvernement refuse de s' à le passer sous la barre des 3 % en 2011, comme le réclame Bruxelles. "Ce qu'il faut maintenant, c'est améliorer notre croissance et notre compétitivité", poursuit M. Cséfalvay. Peu convaincu des bienfaits de la rigueur, le Fidesz préfère taxe bancaire et allégements fiscaux pour les et les particuliers. Ses promesses rencontrent un large écho auprès d'une qui estime fait sa part de sacrifices.
Au FMI, on ne voit pas les choses aussi sereinement. "Effectivement, pour l'instant ils n'ont pas besoin de nous, note Christoph Rosenberg, qui a piloté les dernières négociations du Fonds en Hongrie. Mais [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] ils auront un très gros besoin de refinancement en 2011, bien plus important que cette année. Et on a vu comme le pouvait brutalement sur les marchés."
Régime sec
Selon l'analyste, les marchés restent calmes, car ils sont persuadés que les négociations finiront par avec le FMI. En octobre, sans doute, [url=http://www.ilyav.com/isabelmarant.php]isabel marant pas cher[/url] quand les élections locales seront passées et que le gouvernement abandonnera sa rhétorique populiste.
M. Orban, l'ancien jeune héros de l'anticommunisme, cessera-t-il alors de réclamer la "souveraineté économique" ? "Il vaudrait mieux de stratégie, critique Peter Oszko, [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] ministre des finances du précédent gouvernement. S'il accro?t le déficit, il ne fera qu' la du pays aux prêteurs étrangers."
Mais le gouvernement a-t-il les moyens de ses ambitions ? Bizarrement, son coup d'éclat avec le FMI n'a pas provoqué la panique des investisseurs. Tout juste le forint s'est-il un peu déprécié. A tous leurs visiteurs, les membres de l'exécutif font que le pays emprunte sans peine sur les marchés. Au premier semestre, ses émissions de [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] dette lui ont permis [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] de deux fois plus d'argent que prévu : un signe imparable de la confiance retrouvée de la communauté financière.
Ce coup de thé?tre a pris de court les observateurs. Début juin, des proches de M. Orban s'alarmaient tout haut de l'état catastrophique des du pays, lui prédisant un destin semblable à la . Deux [url=http://avisemos.com/item/126045]hollister outlet sale Le diesel fait le plein dans[/url] mois plus tard, le discours a changé du tout au tout.
Propriétaire d'une boutique de [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] , Miklos Balla résume l'état d'esprit général : "Les affaires marchent mal partout. Les gens ont beaucoup payé. Maintenant c'est au tour des banques, et c'est bien." Il approuve à 100 % la mesure emblématique annoncée par le nouveau gouvernement conservateur de Viktor Orban : une taxe sur les actifs des établissements financiers qui [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] doit à les caisses de l'Etat à hauteur de 700 millions d'euros par an jusqu'en 2013. Ce projet est l'un des points de friction ayant conduit à la spectaculaire [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] rupture des négociations avec le Fonds monétaire (FMI) mi-juillet.
"Après déjà quatre ans d'efforts, l'austérité ne peut pas être la solution", explique le secrétaire d'Etat à l'économie, Zoltan Cséfalvay. En 2006, le déficit public hongrois avait explosé, jusqu'à 9,3 % du produit intérieur brut (PIB). Depuis le pays n'a cessé de se la ceinture, entre gel des allocations familiales, réforme des retraites ou hausse de la TVA...
Fort d'une victoire écrasante de son parti, le Fidesz, aux élections législatives d'avril, le premier ministre répète à qui veut l' que la Hongrie ne va pas si mal. Qu'elle peut bien s'en toute seule et se désormais du FMI, venu la de la faillite en 2008 avec l' (UE) via un crédit de 20 milliards d'euros. Le nouvel exécutif hongrois affirme qu'"assez, c'est assez". Assez [url=http://www.cty-net.ne.jp/~ocean/yybbs/yybbs.cgi]giuseppe zanotti sneakers A M[/url] des coupes budgétaires, assez des restrictions. A l'heure où toute l' se [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] convertit à l'orthodoxie dans le sillage de [url=http://www.achbanker.com/homes.php]www.achbanker.com/homes.php[/url] la crise grecque, Budapest semble sortir du rang. Et tant pis si cela suppose de à la dernière tranche du prêt du FMI, de 5,8 milliards d'euros.
Avec une dette publique approchant les 80 % du PIB, soit le plus haut niveau parmi les pays émergents, la Hongrie reste "très vulnérable", s'inquiète M. Rosenberg. Une chute brutale du forint aurait des conséquences dramatiques, la population étant majoritairement endettée en étrangères, notamment [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] le franc . Ces craintes sont partagées par la plupart des économistes qui pressent Budapest de ne pas le déficit. "Arriver sous la barre des 3 %, ce n'est pas grand-chose mais si on ne le fait pas, on risque d' de gros problèmes, juge Kondrat Zsolt, chef économiste de la banque MKB. Nos antécédents ne sont pas bons. [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] Dans le passé, la Hongrie a souvent négligé ses [url=http://www.zestriliyl.fora.pl/zestril-in-diabetes-treatment,1/tiffany-outlet-unique-check-designs-can-be-found-o,5599.html#5715]tiffany outlet Unique Check Designs Can Be Found O[/url] engagements. Nous n'avons pas triché comme la Grèce, mais on n'a pas fait beaucoup mieux."