cleoy6v2y
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Wysłany: Pon 9:25, 23 Wrz 2013 Temat postu: woolrich bologna Photographie numéros gagnants |
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, qui a lieu au jusqu'au 18 novembre, la galerie Les Filles du Calvaire propose des diptyques du photographe autour de la photo de rue, au prix de 65 [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] 000 dollars hors taxes. Ils existent en trois exemplaires dans le monde. Pourquoi pas plus, s'il y a profusion d'acheteurs ?
C'est un [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] paradoxe. Car la photographie, par définition, est un multiple qu'on peut à l'infini à d'un négatif ou d'un fichier numérique. Pourtant, les tirages contemporains sont dans leur quasi-totalité limités et numérotés. "C'est une pratique en contradiction avec [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] la nature même de la photographie, estime Catherine Dérioz, de la [url=http://hitchhick.com/profile.php?uid=1]hollister sale Picking The Best Publishing Company[/url] [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] galerie Le Réverbère, à Lyon. Elle a été inventée pour les acheteurs. Aujourd'hui, elle est devenue quasiment obligatoire." Elle fait aussi les prix. Car l'adage est connu : ce qui est rare est cher. Pour le galeriste Jér?me de Noirmont, "cela garantit à l'acheteur qu'il n'achète pas un poster".
La fiscalité est une chose. Mais qu'un photographe qui tire une image à plus de [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] trente exemplaires n'est pas un artiste conduit à des absurdités : Cartier-Bresson n'est donc pas artiste, [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler[/url] pas plus que Gustave Le Gray, star du XIXe siècle. Et pour Richard Avedon, ?a dépend des images, comme on a pu le lors d'une vente aux enchères chez Christie's, en 2010...
Pour les contemporains, la numérotation est systématique. Mais à combien d'exemplaires ? Trois, six, douze, trente ? C'est l'artiste qui choisit - onze pour [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] , qui "aime bien ce chiffre". Et moins il y en a, plus c'est cher. Les stars du marché et tirent à six exemplaires. Bernard Utudjian, de la galerie Polaris, précise que les tirages sont faits non à l'avance, mais à la demande. Aussi, il incite ses artistes à leurs tirages : s'il y en a plus de dix, la série est [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] rarement épuisée, et "peu d'artistes ont envie de au laboratoire pour d'anciennes photos dix ans plus tard. Ils sont passés à autre chose".
La numérotation, en France, a été au coeur de la définition juridique de la photographie d'art. Selon le code général des , sont considérées comme oeuvres d'art uniquement "les photographies prises par l'artiste, tirées par lui ou sous son contr?le, signées et numérotées dans la limite de trente exemplaires, tous formats et supports confondus". C'est la galeriste Michèle Chomette qui a proposé cette définition lors du Salon Découvertes au Grand Palais, en 1991. "Je l'ai fait dans un but éthique, pour que le public comprenne ce qu'il avait dans les mains. Pas pour un marché !", déclare-t-elle aujourd'hui. Reste que sa formule a été transposée dans la loi. Ce qui veut que, au-delà de trente exemplaires, la TVA passe de 5,5 % à 19,6 %.
Des ma?tres comme dans les années 1930, ou un dans les [url=http://www.dajingbei.com/forum.php?mod=viewthread&tid=7469&fromuid=1863]moncler outlet Le Cézanne volé et retrouvé Un coup des Panthères roses[/url] années 1960, ne limitaient pas leurs tirages - ce qui ne veut pas qu'ils en faisaient des dizaines... Mais l'usage est tel que la galeriste Catherine Dérioz a du mal à les tirages de , un classique, pour la simple raison qu'ils ne sont pas numérotés. "La limitation n'est pas le seul critère de qualité !", soupire-t-elle.
Il arrive qu'un collectionneur soit trompé sur ce qu'il achète. En début d'année, , célèbre coloriste américain, a retiré dans un format différent des images prises dans les années 1970, qu'il avait [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] limitées à vingt exemplaires à l'époque. Ces nouveaux tirages ont eu un grand succès [url=http://letsgonplay.com/viewthread.php?tid=699892&extra=page%3D1]hollister sale LEtat gagne 526 millions deuros gr ce aux billets en francs non r[/url] chez Christie's, mais des galeries ont protesté - leur crédibilité est en cause. Jonathan Sobel, l'un des plus grands collectionneurs d'Eggleston, a même fait un à l'artiste en arguant que ces grands tirages diminuaient la valeur de sa collection. L'affaire est en cours.
Trente exemplaires, le nombre en or
Dans les faits, on trouve sur le marché des épreuves uniques, des tirages limités et des tirages illimités. Ces derniers sont souvent des images anciennes, du XIXe siècle ou des années 1930 à 1970. Le tirage limité a vraiment décollé avec l'essor du marché de la photographie, dans les années 1970-1980. "C'est une question de génération, explique , de l'agence Magnum. Il ne serait pas venu à l'idée de photographes qui ont commencé dans la presse de numéroter les tirages ! Car il n'y avait pas de marché. Henri Cartier-Bresson, ne l'ont jamais fait." Certains s'y sont mis pour des [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] séries récentes, afin de s' au marché, comme , de l'agence Magnum, avec sa série sur la France.
Les épreuves uniques sont rares, et souvent liées à une technique particulière. Ainsi le duo Pierre et Gilles rehausse de peinture chaque épreuve. Le Mikhailov propose, lui, à la galerie , trois épreuves colorisées à la main datant des années 1982-1983.
La galerie de l'agence Magnum tient un [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] beau contre-exemple. A Paris Photo, elle vend des portraits de par le [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] photographe américain (1906-1975) : ils ne sont pas limités, et pourtant ils valent de 30 000 à 70 000 euros pièce. Une belle somme. Qui s'explique : l'ensemble est inédit. "Ce sont des images des années 1940 qu'Halsman a tirées lui-même et qui ne sont jamais sorties de sa ", explique la galeriste Anna Planas.
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