cleoy6v2y
Dołączył: 10 Sie 2013
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Wysłany: Nie 6:42, 22 Wrz 2013 Temat postu: hollister outlet sale Des bactéries transgé |
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Mais l'application de ces techniques aux carburants est [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] un champ d'études encore neuf, dont les débouchés suscitent d'énormes convoitises. En juillet 2009, le pétrolier américain ExxonMobil a annoncé un investissement de 600 millions de dollars (plus de 450 millions d'euros) dans une alliance [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] avec le biologiste Craig , [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler[/url] pour la production de carburant [url=http://www.hs71.net/forum.php?mod=viewthread&tid=170336]barbour uk Nucléaire trouver lénergie du changement[/url] avec des algues au génome amélioré. Aux Etats-Unis toujours, plusieurs start-up, dont Amyris (associée au groupe fran?ais Total), Gevo (également soutenue par Total) ou LS9 (financée par le pétrolier américain Chevron), misent gros sur des hydrocarbures [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] issus de bactéries ou de levures génétiquement modifiées.
"Les micro-organismes ne peuvent pas naturellement d'isobutène. Il a donc fallu créer une cha?ne métabolique artificielle", explique Marc Delcourt. Autrement dit, [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] une série [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] d'enzymes qui, par transformations successives, permettent de du sucre à l'hydrocarbure gazeux. Puis les gènes qui gouvernent l'expression de ces enzymes et les [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] dans une bactérie, .
à toute une [url=http://www.njtcw.net:8080/viewthread.php?tid=478500&extra=]barbour sale Si Bahreïn tombait...[/url] gamme de productions industrielles. Comme celle de . [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] Une fois n'est pas coutume, une jeune PME fran?aise, , est l'une des pionnières d'un marché qui pourrait émerger rapidement.
Avec une standardisation des procédés, le "bactério-carburant" pourrait, au regard [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] des cours actuels du sucre et du , 30 % moins cher que l'essence classique, affirment les dirigeants de Global Bioenergies. Et réduire de 15 %, par rapport aux agrocarburants actuels, les émissions de gaz à effet de serre.
Ce docteur en biologie moléculaire s'est associé à un spécialiste de la de synthèse, Philippe Marlière, pour , en octobre 2008, cette société qui a levé 4 millions d'euros et obtenu un financement de l'établissement public d' à l'innovation Oséo. Elle regroupe aujourd'hui une vingtaine de chercheurs et ingénieurs, au Génopole d'Evry (Essonne).
Global Bioenergies est pour l'instant la seule entreprise sur son créneau : la fabrication d'un hydrocarbure gazeux, l'isobutène, à de sucre dégradé par des bactéries reprogrammées. Ses concurrents tablent, eux, sur des hydrocarbures liquides. "L'avantage d'un gaz - facilement convertible en essence, en kérosène ou en diesel - est qu'il n'est pas toxique pour le milieu de , et qu'il évite les opérations d'extraction, de purification et de distillation co?teuses et gourmandes en énergie", indique son PDG, .
Pour ce biocarburant, [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] il faut donc du sucre : de la mélasse de betterave ou de canne à sucre, du glucose extrait de l'amidon du blé ou du ma?s, ou encore des sucres tirés - c'est l'un des intérêts de la formule - des déchets agricoles ou forestiers, comme la paille. Mais il faut aussi une bactérie capable de cette matière première en hydrocarbure.
Pourtant, dans un rapport présenté le 21 octobre devant les Nations unies, le rapporteur spécial pour le droit à l'alimentation, Olivier De Schutter, soulignait que la compétition entre agroaliments et agrocarburants fait déjà des ravages, au détriment de millions de petits paysans.
Face à ces atouts, se posent toutefois deux questions. Celle, d'abord, d'une possible dissémination de micro-organismes transgéniques. "Les réactions se font en milieu confiné et, de toute fa?on, les bactéries ne pourraient absolument pas dans le milieu naturel", répond Marc Delcourt.
Celle, surtout, de la concurrence de cultures énergétiques (la production de sucre) avec les cultures alimentaires, déjà reprochée aux biocarburants sur le marché. "Pour la totalité des carburants issus du pétrole par des hydrocarbures dérivés du sucre, sans [url=http://www.vlaba.cn/forum.php?mod=viewthread&tid=128996]www.vivid-host.com/barbour.htm Moraliser, la belle affaire ![/url] aux cultures alimentaires, il faudrait de deux fois et demie la superficie mondiale cultivée actuelle. C'est un objectif accessible, en arrêtant les jachères et en exploitant les déchets agricoles et forestiers", assure le jeune PDG.
L'utilisation industrielle de micro-organismes transgéniques n'est pas nouvelle. Principalement dans le domaine de [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] la santé, où le génie génétique est à l'origine de nombre de médicaments, vaccins ou hormones. L'exemple le plus emblématique est celui de l'insuline, extraite, pour les diabétiques dont le pancréas n'en produit pas suffisamment, de bactéries ou de levures où a été introduit le gène de cette hormone.
Clou du laboratoire : un fermenteur d'un litre, à l'échelle du millionième d'une installation industrielle. Dans cette cuve [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] de verre, 5 grammes de bactéries, plongées dans une solution de 100 grammes de sucre, permettraient en théorie de secréter 30 grammes d'isobutène, qui donneraient la même quantité d'essence. La société prévoit de en service, fin 2011, un prototype à l'échelle du millième, puis un démonstrateur à l'échelle du dixième, avant de , en 2015, à la production commerciale.
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