cleoy6v2y
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Wysłany: Nie 5:57, 22 Wrz 2013 Temat postu: giuseppe zanotti pas cher Il est temps de sortir d |
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4. Le discours incantatoire autour de l'autonomie est d'autant plus paradoxal [url=http://www.vill.tabayama.yamanashi.jp/cgi-def/admin/C-002/bb1208/visit/main.pl?PAGE_NUM=1]peuterey La photographie, de [/url] que les universités ne disposent d'aucune autonomie réelle dans la définition de leur mission et de leur organisation pédagogique. L'offre de formation reste encadrée par le ministère au nom du "cadrage national des [url=http://www.2000gtr.com/bbs_cgi/joyful_1/joyful.cgi]moncler Ne loublions pas le[/url] dipl?mes", renforcé par l'arrêté sur la nouvelle licence de 2011 et en contradiction avec le principe de la réforme LMD (licence-master-doctorat) de 2002, et, surtout, les universités restent dans l'obligation d' tous les bacheliers dans leurs cursus sous le contr?le tatillon des recteurs qui ont conservé le droit d' d'autorité des étudiants !
5. La question cruciale concernant [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] les universitaires n'est pas tant celle de leur évaluation, comme a voulu le le précédent gouvernement, que celle de leur recrutement. Il serait temps d' qu'on recrute mal les universitaires en France et que ce défaut majeur est à l'origine d'un formidable g?chis, humain et financier. Ce n'est pas toujours la qualité scientifique des candidats qui prévaut, que ce soit en raison du primat accordé au candidat local ou en raison de phénomènes de chapelle scientifique. De ce point de vue, la loi LRU n'a rien résolu et a même aggravé la situation en donnant une compétence excessive au président d'université et à son conseil d'administration.
La réétatisation du paiement des fonctionnaires de l'enseignement supérieur semble donc nécessaire si l'on veut que les universités aient encore une marge de manoeuvre dans la gestion de leur budget. Comme l'espoir mis dans le financement privé (les fondations) para?t vain, toute autre solution conduirait, t?t ou tard, à une augmentation massive des droits d'inscription pour, simplement, éviter la "faillite" des établissements.
Dans l'immédiat une solution simple et applicable consisterait à les universités à définir leurs exigences pour l'entrée en première année. En contrepartie, elles auraient l'obligation d' un cycle de remédiation ("année zéro"), sanctionné par un examen terminal, pour le public jugé dans l'incapacité de avec profit un premier cycle universitaire.
En la matière encore, des logiques politiques extérieures aux finalités de la formation supérieure l'emportent [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] sur la logique universitaire. Une autonomie pédagogique réelle des établissements universitaires exige qu'on leur donne les mêmes droits qu'aux autres institutions d'enseignement supérieur en matière de choix de leur public.
des études supérieures longues et fondamentales se détourne ainsi de l'université, à qui on demande, en revanche, d' une sortie de l'enseignement secondaire sans les prérequis nécessaires à cette fin ni même, pour beaucoup, sans le désir de s' dans un tel [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] cursus.
L'hypocrisie est à son comble quand, au motif que le baccalauréat reste légalement le premier universitaire, on demande aux universités d' tous les titulaires d'un baccalauréat technique ou professionnel, alors que ces dipl?mes n'ont jamais été con?us dans la perspective d'une poursuite d'études à l'université et que l'on sait que les deux tiers des bacheliers technologiques et les [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] neuf dixièmes des bacheliers professionnels n'accéderont jamais en troisième année de licence.
1. Il faut d'abord à la politique de l' de celle de la jeunesse, que le président Hollande a placée, à raison, parmi les priorités [url=http://www.gotprintsigns.com/hollisterpascher/]hollister paris[/url] de son quinquennat. L'attribution à la jeunesse d'un statut visant à son autonomie sociale et financière dans un contexte de ch?mage de masse est une nécessité politique de l'heure. Une vraie d'enseignement supérieur doit se préoccuper de la formation tout au long de la vie et non seulement de la prise en charge des [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] flux annuels de bacheliers.
Il est illusoire de , comme on le "serine" régulièrement, qu'il suffirait d' plus strictement les étudiants de premier [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] cycle (avec quels moyens d'ailleurs ?) pour régler le problème de l'échec en première année.
2. Il faut que les autorités gouvernementales prennent en considération le caractère plural de l'enseignement supérieur fran?ais et mettent en place en conséquence une politique globale, sous la tutelle d'un ministère unique, à même d' un cadre réglementaire commun minimal à tous ces opérateurs permettant de réguler l'orientation des étudiants entre les divers dispositifs, publics et privés. Les formations privées, pas toujours de qualité, occupent, sans qu'on y ait pris garde, une place de plus en plus importante dans notre [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] enseignement supérieur. Une régulation publique d'ensemble s'impose.
Nous pensons toutefois qu'il s'agit là d'une base incontournable pour une inflexion de la trajectoire actuelle. Sans cette inflexion, on assistera à l'approfondissement d'un dualisme déjà bien installé de l'enseignement supérieur fran?ais, entre un secteur sélectif, de plus en plus souvent privé, et une université publique en train de "l'université des pauvres".
Une telle tendance conduit à un désastre culturel et scientifique, car le marché, qui est un dispositif de régulation de court terme, ne sera jamais en mesure de la recherche fondamentale et la transmission désintéressée de connaissances qui sont au coeur de l'idéal universitaire. Il n'est pas trop t?t pour ; il est presque déjà trop tard.
D'un c?té, en effet, les établissements universitaires [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler pas cher[/url] ne sont pas ma?tres de leurs dépenses, qui sont en majorité des frais de personnel dont le montant est légalement défini par les règles générales de la fonction publique. Mais, [url=http://chrisrobinson.us/dolphin/blogs.php?action=show_member_blog&ownerID=9868]moncler Les syndicats, larme au pied face à léch[/url] de l'autre c?té, ils ne sont pas ma?tres non [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] plus de leurs ressources, qui sont soit pour l'essentiel attribuées par l'Etat, soit encadrées par celui-ci (droits d'inscription).
Cette configuration absurde, connue de tous depuis longtemps, mais qui n'a cessé de s', est pourtant le plus souvent occultée dans la parole publique, celle des politiques, comme celle des universitaires eux-mêmes. ce non-dit est pour nous la condition pour s' enfin sur la voie de réformes authentiques susceptibles de l'université fran?aise [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] de son déclin accéléré.
L'échec en premier cycle universitaire n'est que la plaie apparente d'une pathologie qui relève de l'ensemble du système fran?ais d'enseignement supérieur et de son articulation avec l'enseignement secondaire, c'est-à-dire du statut du baccalauréat, qui [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] est plut?t un certificat de fin d'études secondaires.
3. L'autonomie, telle qu'elle a été envisagée par la loi LRU a été mal pensée. Il ne s'agit que d'une autonomie budgétaire destinée à , sans le , un désengagement de l'Etat. La mesure la plus révolutionnaire a été la moins discutée : le transfert de la masse salariale aux établissements, en vertu duquel les universitaires, pourtant fonctionnaires d'Etat, sont désormais payés sur le budget de leur université. Telle est la bombe à retardement, subrepticement déposée par le législateur, et qui commence à déployer ses effets ravageurs.
6. La question la plus grave est bien s?r celle de l'entrée en première année universitaire. Dans un contexte où tous les autres cursus de formation ont le droit de leur public à l'entrée, l'université joue un r?le de "voiture-balai", chargée de en charge ceux qui n'ont pas trouvé de place ailleurs.
Nous voudrions des propositions simples, pour un changement de cap.
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